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TIROIR 71 PAQUET DEUXIÈME

 

Notes des anciens titres concernants les droits spirituels de l'Abbaye, savoir d'union, régularité, ou au moins de collation, etc., sur l'église de Saint-Sigismond

 

N. B. On se dispense ici de rappeller les titres énoncés dans l'article précédent qui regardent principalement l'église de Saint-Sigismond.


71/2/1
Anciens droits spirituels sur l'église de Saint-Sigismond
2 copies

Échange des églises de Saint-Sigismond et de Saint-Léger de Nenda [Nendaz], fait entre l'évêque de Sion A. [Amédée de La Tour] et son Chapitre et l'abbaye de Saint-Maurice, pour appaiser quelques difficultés au sujet de la première de ces églises. En vertu de cet échange, ledit évêque [Amédée de La Tour] cède à perpétuité à l'abbé [Rodulphus] l'église de Saint-Sigismond, ci-devant de la manse épiscopale, avec ses dîmes, oblations et autres revenus, exceptés ceux qui avoient été infeudés aux chevaliers (apparemment de Saint-Jean, qui avoient possédé la chapelle de Saint-Jean sous le chœur de Saint-Sigismond, ainsi que le conjecture l'abbé Jost Quartéry [Jean-Jodoc Quartéry]), se réservant à lui-même le droit épiscopal ; et que si le chapelain institué par l'abbé dans la même église ne paroît pas capable au même évêque, ledit abbé le changera ou satisfera pour lui ; outre que ledit chapellain devra l'hospitalité audit évêque (de la manière énoncée dans l'accord de 1215, article précédent [71/1/1]), sans être cependant assujeti au cathédratique ou autres secours. Par contre, l'Abbaye cède audit évêque à perpétuité l'église de Nenda [Nendaz], avec toutes ses appendices, et en outre 20 muids de cense, savoir 10 muids de seigle, 7 de froment et 3 d'orge, dus auparavant à l'Abbaye sur les villages de Nenda [Nendaz], Brignon, Bars [Baar], Clèbes, Contey [Conthey] et Vétroz. Cet acte est sans date. On peut voir, dans la principale copie signée par deux notaires reconnus pour tels à Sion en 1756, et tirée du livre de la Val d'Illié [Val d'Illiez] [Liber Vallis Illiacæ], ce qu'a pensé sur cette date le prédit abbé Quartéry [Jean-Jodoc Quartéry].

Voir aussi :
Liber Vallis Illiacæ, fol. 44 vel 34 [en réalité : p. 34]
Liber Sancti-Mauricii [Liber Agaunensis], fol. 89v

2 documents cotés :
CHA 71/2/1~01
CHA 71/2/1~02


1309

L'Abbaye a produit devant la rote (summarium coram rota, 1756, N° 15, littera A 4) un acte de cette année, tiré du grand minutaire [Minutarium majus] en parchemin sous les abbés Jaques [Jacques d'Ayent], Barthélemi [Barthélemy de Bartholomeis], qui est dans nos archives, au fol. 235 p. 2, concernant des gens de Salvan, à la fin duquel on a cru lire ces paroles : " Ad hoc fuerunt testes vocati : Vuill. de Veraussaz [Vérossaz] ; Girardus, curatus Sancti-Mauritii [Saint-Maurice] ; Petrus de Ayent [Pierre d'Ayent], canonici. Petrus de Fraciis [Pierre de Frasciis], cantor dicti monasterii Agaunensis, qui hanc cartham levavi, etc. " ; et cela pour prouver que ledit Girard, curé de Saint-Maurice ou de Saint-Sigismond, étoit chanoine de l'Abbaye. Mais je ne crois pas cette preuve solide, parce qu'ayant vérifié lesdites expressions sur le prédit minutaire, il m'a paru que l'on devoit plutôt lire " canonicus et ", qui se rapporte au seul Pierre de Ayent [Pierre d'Ayent], que " canonici ", qui comprendroit aussi les deux précédens.


1349

Pierre Wiberti, curé de Saint-Sigismond, présente à l'abbé Barthélemi [Barthélemy Giusti] Pierre Becheti pour la rectorie de la chapelle de Sainte-Marie, sise en l'église de Saint-Sigmond [Saint-Sigismond], et ledit abbé [Barthélemy Giusti] institue le même Becheti recteur d'icelle.

Vide infra, Autels de Saint-Sigismond, N° 1 [72/1/1]


71/2/2
Anciens droits spirituels sur l'église de Saint-Sigismond
Original
1370

Pierre Wiberti, curé de Saint-Maurice, abberge - tant à son nom qu'à celui de ses successeurs - un planche de terre sise au-dessus du pont de Saint-Maurice, pour le service anuel de 6 deniers et 20 sous d'introge, à Nicod Balifar d'Orsières, habitant de Saint-Maurice, laquel lui avoit été abandonnée par Martin Cotter. On ne voit rien dans cet acte qui représente ledit curé comme chanoine régulier.

1 document coté :
CHA 71/2/2


1402 [en réalité : 1302]

Uldric Gay d'Orsières, qui avoit été pourvu de la cure de Saint-Sigismond par autorité apostolique, ayant négligé de recevoir la prêtrise dans l'année, et la cure étant par là devenue vacante, les procureurs de l'abbé et du Chapitre, à qui appartenoit la présentation à ladite cure, présentèrent Maurice de Prechz, prêtre de Saint-Maurice ; mais l'évêque Boniface [Boniface de Challant] refusant de l'admettre jusqu'à ce qu'on eût pourvu ladite cure de revenus suffisans, lesdits procureurs, munis d'une procure suffisante, convinrent :

1° que l'Abbaye ne percevroit à l'avenir que la moitié des pains qu'on offroit le dimanche, au lieu des deux tiers qu'elle percevoit auparavant, etc. ;

2° que l'Abbaye remettroit à l'église de Saint-Sigismond sa vigne <page 1040> de Chabloz de 20 fossorées, sise entre le sex et son pré, franche de toute charge ;

3° que les curés de Saint-Sigismond ne seroient plus obligés de traitter chaque année les religieux de l'Abbaye à cause des oblations de la fête de saint Sigismond, moyénant quelles conditions ledit Maurice fut institué curé par ledit évêque [Boniface de Challant], et reçut l'administration de ladite église.

Cet acte est inséré dans le suivant.


71/2/8
Anciens droits spirituels sur l'église de Saint-Sigismond
Copie autentique
1417

Pierre Murgodi, curé de Saint-Sigismond, reconnoît devoir à l'abbé Jean Sostion la moitié de toutes les offrandes de pains qui se fond aux jours de dimanche, à teneur de l'acte précédent de l'an 1402, et s'engage pour lui et ses successeurs de payer audit abbé et successeurs 20 sous mauriçois annuels pour ladite moitié, aussi longtems qu'ils le souhaitteront. La copie de ces deux actes insérés l'un dans l'autre, signée de deux notaires et tirée d'une autre copie autentique, se trouve dans le livre de Saint-Maurice ou de la bourgeoisie [Liber Agaunensis], fol. 91 et suivants.

Voir aussi Liber Agaunensis seu Sancti-Mauricii [Liber Agaunensis], fol. 91, etc.

1 document coté :
CHA 71/2/8


71/2/7
Anciens droits spirituels sur l'église de Saint-Sigismond
Original
1415

Le même curé Murgodi avoit déjà confessé en 1415 que, de ladite somme de 20 sous annuellement due à l'abbé, il en devoit payer en déduction d'icelle 2 sous annuels à l'aumônier, pour son droit de décime sur ladite portion des offrandes en pain, etc.

1 document coté :
CHA 71/2/7


71/2/3
Anciens droits spirituels sur l'église de Saint-Sigismond
Original et copie
1449

L'abbé Michel Bernardi [Michel Bernardi d'Allinges] prétendant hériter des biens meubles de feu Barthélemi Rosseti, dernier curé de Saint-Sigismond, attendu le droit de dépouille qu'il a sur cette église et autres dont il est patron, se contente enfin des meubles dudit feu curé qui se sont trouvés dans ladite cure, et de la somme de 10 florins d'Allemagne à lui payée.

N. B. Cet accord s'est fait par la médiation du doyen de Sion [Heinrich Esperlin].

Voir aussi Liber Agaunensis, fol. 94v

2 documents cotés :
CHA 71/2/1~01
CHA 71/2/1~02


71/2/4
Anciens droits spirituels sur l'église de Saint-Sigismond
Original
1453

Accord entre Jean de Valone, curé de Saint-Maurice, et Ansermod et Martin de Chamberiaco, neveux par leurs femmes du prédit curé Barthélemi Rosseti, touchant la succession de ce dernier, dans lequel accord ledit droit de dépouille sur l'église de Saint-Sigismond et autres du patronat de l'Abbaye est rappellé, ainsi que le prédit accord de 1449.

Voir aussi Liber Agaunensis, fol. 96v

1 document coté :
CHA 71/2/4


71/2/5
Anciens droits spirituels sur l'église de Saint-Sigismond
Original
1456

Sentence portée par des arbitres choisis et acceptée, par laquelle il est prononcé que Jean de Valone, curé de Saint-Sigismond, et ses successeurs en dite cure, sont obligés de payer annuellement - en deux termes fixés - 50 sous mauriçois à Pierre Georgii, chanoine et infirmier de l'Abbaye, et à ses successeurs en dit office d'infirmier ; item, de payer aux mêmes 1 coupe de froment et 3 sous mauriçois de rente annuelle, pour un verger qui est derrier sa cure et bien limité, et lequel verger est du fief de l'Abbaye, sous le service annuel de 5 deniers outre le plait.

On jointe (sic) ici une sentence de 1455, conforme à celle-ci sur les 50 sous.

Voir aussi Liber Agaunensis, fol. 110v

4 documents cotés :
CHA 71/2/5~01
CHA 71/2/5~02
CHA 71/2/5~03
CHA 71/2/5~04


71/2/6
Anciens droits spirituels sur l'église de Saint-Sigismond
Original double
1462

Accord fait sur le même sujet par l'abbé Boverii [Barthélemy Bouvier] et autres arbitres, entre le même prédit infirmier [Pierre Georgii] et Michel de Nuce, curé de Saint-Sigismond, par lequel on convient que la prédite rente ou redevance de 50 sous, due à cause du personat, sera régulièrement acquittée chaque année envers les infirmiers de l'Abbaye, ainsi que la prédite coupe de froment et 3 sous pour ledit verger, jusqu'à ce que ledit curé [Michel de Nuce] ait payé audit infirmier [Pierre Georgii] ou à ses successeurs petit poids semel, laquelle somme étant une fois payée, ladite coupe de froment et 3 sous ne seront plus dus.

On ajoute, sous ce même N° 6 [71/2/6], une petite procédure duement signée, par laquelle on voit que l'abbé Miles [Jean Miles], ayant acquit de Charles Raffi, chanoine et infirmier, les arrérages de dite redevance annuelle de 50 sous, fit poursuivre par son procureur, en 1561 devant l'official de Sion, Rodulphe Boverii [Rodolphe Bovéry], curé de Saint-Sigismond, pour le payement desdits arrérages et autres droits dus audit abbé [Jean Miles], en vertu des droits qu'il produit, etc. Cette procédure se termine par une contumace déclarée contre ledit curé [Rodolphe Bovéry].

Voir aussi Liber Agaunensis, fol. 109

3 documents cotés :
CHA 71/2/6~01
CHA 71/2/6~02
CHA 71/2/6~03


71/2/9
Anciens droits spirituels sur l'église de Saint-Sigismond
Original
1465

L'abbé Guillaume Bernardi [Guillaume Bernardi d'Allinges] abberge au prédit Michel de Nuce, curé de Saint-Sigismond, au nom de dite cure, trois chésaux de maisons du fief de l'Abbaye, mais abandonnés et situés jouxte le verger et grange de dite cure, sous le service annuel de 10 deniers, et en outre - à cause de la mainmorte - sous le plait de 3 sous à chaque changement de seigneur et de tenancier. L'abbergement est laudé et confirmé par l'abbé [Guillaume Bernardi d'Allinges] et le Chapitre.

1 document coté :
CHA 71/2/9

N. B. Ce même curé Michel de Nuce a assisté en 1463, en qualité de témoin, à l'élection du prédit abbé Guillaume Bernardi [Guillaume Bernardi d'Allinges].

Vide Élections des abbés, N° 4 [3/1/4]

<page 1041>

71/2/10
Anciens droits spirituels sur l'église de Saint-Sigismond
Original
14. décembre 1486

Pierre Bernardi alias d'Allinge [Pierre Bernardi d'Allinges] ayant résigné sa cure de Saint-Sigismond en faveur de Jean d'Allinge [Jean Bernardi d'Allinges], son neveu, curé de Salvan, entre les mains de Guillaume Bernardi [Guillaume Bernardi d'Allinges], abbé de Saint-Maurice, comme ayant le juspatronat de dite cure de Saint-Sigismond, et ledit abbé [Guillaume Bernardi d'Allinges] ayant accepté ladite résignation, et conféré en conséquence la même cure avec tous ses droits au prédit Jean d'Allinge [Jean Bernardi d'Allinges], il prie l'évêque de Sion [Jost von Silenen] de l'instituer, recevoir et admettre dans la même cure de Saint-Sigismond, et de lui accorder les patentes à ce requises : summarium coram rota, 1756, N° 88.

Voir aussi Liber Agaunensis, fol. 98v

1 document coté :
CHA 71/2/10


71/2/11
Anciens droits spirituels sur l'église de Saint-Sigismond
Original
19. décembre 1486

L'évêque de Sion Jost de Silinen [Jost von Silenen], sur la présentation de l'abbé de Saint-Maurice [Guillaume Bernardi d'Allinges] comme patron, institue le prédit Jean d'Allinge [Jean Bernardi d'Allinges], ci-devant curé de Salvan, comme curé de Saint-Sigismond, avec les clauses ordinaires d'une institution collative, etc. : summarium coram rota, 1756, N° 88, littera G, etc.

Voir aussi Liber Agaunensis, fol. 99v

1 document coté :
CHA 71/2/11


1500

Voyés cy-après, article Autels à Saint-Sigismond, N° 6 littera A [72/2/6A], un acte où l'abbé Jean d'Allinge [Jean Bernardi d'Allinges] se dit " magnus curatus Sancti-Sigismundi [Saint-Sigismond] ", et se gère pour tel.


1505

On peut voir dans les notes sur la châtelainie de Saint-Maurice, article Généralité de dîme rière Saint-Maurice, N° 5 [17/1/5], cottée une procédure commencée en 1621 et duement signée, dans laquelle - p. 17 - les procureurs de l'Abbaye ont produit et rapporté la substance d'un examen de 9 témoins ecclésiastiques et laïques, bourgeois de Saint-Maurice, pris le 25 février 1505 ; lesquels témoins ont déposé que l'église collégiale et conventuelle de l'Abbaye est paroissiale, mère et baptismale dans tout le district qui est entre les paroisses de Salvans [Salvan], Massonger [Massongex] et Bex, et que les deux chappelles de Notre-Dame sous le Bourg et de Saint-Sigismond sont dépendantes et sujettes à ladite église collégiale, et qu'on y célèbre les offices divins, mais sans étandard et sans y administrer le baptême. Cet examen a derechef été produit en 1623 devant l'évêque de Sion [Hildebrand Jost], et les procureurs de la bourgeoise n'ont point nié dans leur réponse l'autenticité de cet examen, ni la déposition qu'on vient de rapporter : voyés vers la fin de cette procédure. Il est dommage qu'on ne trouve plus l'acte autentique de cet examen, signé Jean de Pratis, notaire.


1507

L'abbé Jean d'Allinge [Jean Bernardi d'Allinges], en qualité de curé et recteur de l'église paroissiale de Saint-Sigismond, donne à ferme de nouveau ou admodie à Claude Melliereti de Samoën [Samoëns], chappelain, ladite église de Saint-Sigismond pour le terme de trois ans, avec tous ses droits et charges (exceptées les charges papales et le personat annuel dû à l'Abbaye pour ladite église, dont ledit abbé [Jean Bernardi d'Allinges] décharge ledit admodiataire), outre plusieurs autres réserves faites de part et d'autre ; et ladite admodiation s'est faite pour la somme de 10 florins petit poids, chaque florin valant 12 deniers gros monoye de Savoye [Savoie], pour la 1ère année, et pour 80 florins les deux années suivantes, payables en différens termes par ledit admodiataire. La copie de cet acte se trouve au livre de Saint-Maurice ou d'Agaune [Liber Agaunensis], fol. 102, signée par 2 notaires, et tirée du protocolle de François Charvy, notaire. Il y a dans nos archives un petit protocolle du même notaire : mais comme il finit en 1506, ledit acte ne s'y trouve pas.

N. B. L'abbé Jean d'Allinge [Jean Bernardi d'Allinges], curé de Salvan, et fait curé de Saint-Sigismond en 1486 - supra, Nos 10 [71/2/10] et 11 [71/2/11] - ne s'est fait religieux de l'Abbaye qu'après qu'il fut pourvu de l'Abbaye, en conséquence de la résignation de l'abbé Guillaume Bernardi [Guillaume Bernardi d'Allinges], son oncle, et ce fut dans le même tems qu'il fut dispensé par le pape pour retenir la cure de Saint-Sigismond en commende. C'est apparemment en vertu de cette dispense qu'il a fait la prédite admodiation.

Voir aussi :
Confirmations des abbés, N° 9 litteræ A [4/1/9A], B [4/1/9B] et G [4/1/9G]
Liber Agaunensis, fol. 102


71/2/12
Anciens droits sur l'église de Saint-Sigismond
Original
1530

Jean Magnin, habitant à Massonger [Massongex], vend à Mermet de Fartis, admodiataire de l'église paroissiale de Saint-Sigismond, pour lui et ses successeurs dans ladite église, pour le prix de 8 florins, la rente de trois bichets de froment assignée sur une terre sise à Massonger [Massongex], etc.

Original un peu rongé.

1 document coté :
CHA 71/2/12


1562

On voit dans un petit livre de minute d'un notaire, cotté tiroir 67., paquet 2d, N° 4 [67/2/A4], que l'abbé Jean Miles a conféré en cette année la cure de Saint-Sigismond à Claude Vidalis, présents plusieurs de ses chanoines et autres.

N. B. Claude Vidalis étoit habitué de l'Abbaye, et fut fait recteur de la chapelle de Saint-Laurent en 1576 : vide Chapelle de Saint-Laurent, N° 4 [63/3/4].


71/2/13
Anciens droits sur l'église de Saint-Sigismond
Original
22. décembre 1552

Le même abbé Miles [Jean Miles] proteste, en présence de ses religieux et autres, contre le curé de Saint-Sigismond de ce qu'il n'assiste et ne contribue pas à une certaine collation aux jours des O. [vraisemblablement : oléries], comme le faisoient ses prédécesseurs curés ou admodiataires, et se réserve le droit d'agir contre lui.

1 document coté :
CHA 71/2/13

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