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Les informations ci-dessous représentent la structure des différents fonds d'archives, conformément à la terminologie précisée par la norme internationale ISAD(G) : un fonds peut être divisé en sous-fonds, série, sous-série, dossier et pièce. Si vous voulez des explications détaillées sur la façon de se déplacer dans cette hiérarchie, cliquez ici
| Fonds | Sous fonds | Série | Sous série | Dossier | ||||||||||
 |  | CH AASM | | | - CPT | | | - 600 | | | - 2 | |||
| | + 1 Registre des actes comptables de la confrérie de SS. Fabien et Sébastien de Saint-Maurice sur près de deux siècles. Il comprend notamment des listes nominatives de débiteurs, avec les montants qu'ils doivent à la confrérie. Ces listes sont remises à jour irrégulièrement, par exemple en 1785 (p. 38-39). A la fin du XVIIIe siècle, la confrérie dispose encore de ressources en nature (p. 12). Les exercices comptables regroupent souvent plusieurs années; ils s'efforcent de faire apparaître les recettes (cens, intérêts, legs) et les dépenses (achats de céréales, salaires, aumônes, messes, etc.) suivant une systématique approximative. La présentation des comptes devient annuelle après la promulgation des nouveaux statuts de la confrérie en 1843 (p. 92-94). Les privilèges religieux attachés à cette association peuvent être considérés comme les anciens statuts: ils remonteraient à 1673 au moins (collage p. 95). La confrérie est dirigée par un religieux appelé " prieur " et la gestion des comptes est confiée à un " procureur ". Depuis 1835, les principaux actes sont contresignés par les confrères les plus éminents (p.79). Dès 1904, les comptes mentionnent une subvention cantonale de 50 francs prélevée sur la " dîme de l'alcool " (p. 306 et collage p. 311). Une feuille volante présente les noms des débiteurs de la confrérie qui lui doivent des arrérages en 1816. | ||||||||||||
| | + 2 Rentier d'une confrérie du Saint-Rosaire dans lequel sont répertoriés ses divers revenus: des tailles à Choëx (p. 1); des rentes indéterminées à Vérossaz et probablement ailleurs en Chablais (p. 2-11); des rentes indéterminées à Choëx, mais également ailleurs en Chablais (p. 12-15); des additions effectuées selon une technique élémentaire de bâtonnets alignés (p. 15-16). Ce rentier a été dressé selon les ordres de l'abbé de Saint-Maurice et de son châtelain de Salvan, ce qui laisse supposer que l'église paroissiale dans laquelle cette confrérie du Saint-Rosaire est instituée relève de la juridiction spirituelle de l'abbé de Saint-Maurice (p. 8). Il s'agit probablement de l'église de Salvan. D'après l'écriture et la mention de Guillaume du Fay, ce rentier date de la première moitié du XVIIe siècle. | ||||||||||||
| | + 3 Livre de compte du Bureau de bienfaisance et de la confrérie de Saint-Sébastien |