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CH > AASM > LIB > 000 > 000 > 007

            
               
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Ansermetus, fils de l'ancien métral de Lavey, Bruno, prête hommage lige à Hugo, recteur de l'hôpital de Saint-Maurice, pour l'abergement de Petrus de Dorona, comme sera tenue de le faire sa descendance.
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Les pâturages communaux de Saint-Maurice, Collonges, Arbignon et Dorénaz ont subi des empiétements qui nuisent aux usagers ; les habitants protestent donc par leurs syndics, qui élisent Antonius de Cojonay, recteur de l'hôpital Saint-Jacques et à ce titre seigneur de Dorénaz, et Bartholomeus d'Arbignon, seigneur de Collonges, pour retracer les chemins et les limites de ces communaux. Ce qu'ils font pour chaque parcelle, en déterminant des droits de pacage annuels ou saisonniers.
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Candidus Fabri, chanoine de Saint-Maurice et recteur de l'hôpital de Saint-Jacques, assisté d'Aymetus, lieutenant du métral de Saint-Maurice, procède à la délimitation et à l'inventaire des parcelles sur lesquelles s'appliquent les droits communaux de pâturage
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Wiffredus Castellario, chanoine de Saint-Maurice, prieur d'Aigle et recteur de l'hôpital Saint-Jacques, entre en possession de la seigneurie et juridiction de Dorénaz, mouvante de l'hôpital.
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Les hommes de Dorénaz prêtent serment à Wiffredus Castellario, chanoine de Saint-Maurice, prieur d'Aigle et recteur de l'hôpital Saint-Jacques et lui reconnaissent la haute et la basse justice sur cette juridiction et seigneurie.
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Des habitants de la juridiction de l'hôpital Saint-Jacques prirent un cerf à la chasse et, reconnaissant les droits de l'hôpital, y apportèrent les honneurs (front, tête et cornes), la palette droite et les pieds, comme le voulait l'usage.
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Après avoir informé le juge de Chablais d'un accord préexistant entre les gens de Dorénaz et d'Arbignon, soumis au recteur de l'hôpital Saint-Jacques, et l'ancien recteur de cet hôpital, le successeur de celui-ci, Hugo Cavelli, s'accorde avec Joannes d'Arbignon et les gens de Dorénaz et Arbignon pour partager en deux moitiés l'usage et la possession des bois et forêts de ces lieux. (vérifier)
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Jacobus Rosseti, docteur en droit, juge de Chablais et de Genève, valide et scelle un instrument public que lui a présenté Candidus Fabri, recteur de l'hôpital de Saint-Maurice
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Suite à une donation entre vifs du 28.06.1359, Michaudus Loz Bruniez prête hommage à Nantelmus Renardi, recteur de l'hôpital Saint-Jacques de Saint-Maurice, pour les usages de ces biens, et s'acquitte d'une somme de vingt sous.
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Guillelmus Ursi, chanoine de Saint-Maurice et recteur de l'hôpital Saint-Jacques, a demandé que les frères Perrodus et Joannetus de Dorena lui restituent les biens mouvants de l'hôpital de Saint-Maurice que leur mère, homme lige de l'hôpital, leur a laissé en héritage, car ils refusent de se soumettre à la ligesse, en tant qu'hommes liges d'un autre seigneur. Ceux-ci ont produit un délai et souffrance perpétuel d'hommage concédé par les précédents recteur de l'hôpital. Le recteur de l'hôpital approuve ce délai et l'étend aux biens qui n'étaient pas inclus dans les précédents accords. Le montant des droits d'usage est défini par un accord entre les parties
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Wiffredus de Castellario, prieur d'Aigle et recteur de l'hôpital Saint-Jacques, approuve, à la demande de Jacobus Lombardi, les acquêts et échanges conclus par celui-ci sur des terres mouvantes de l'hôpital ; le recteur donne à Jacobus Lombardi, déjà homme lige d'un autre seigneur, un délai et souffrance de ligesse.
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Aymo Boquis, chanoine et infirmier de Saint-Maurice, comme tuteur et au nom de Joannes de Castellario, chanoine de Saint-Maurice et recteur de l'hôpital Saint-Jacques, reconnaît à Henricus de Dorénaz, dit Chappuys, la donation de biens sis dans la mouvance de l'hôpital Saint-Jacques, faite par Joannes Fay à Henricus de Dorénaz, provenant de la succession de feu Jacominus Fay. Ce dernier étant homme lige à titre personnel et territorial, Henricus de Dorénaz n'a pu jusqu'ici obtenir l'approbation de ce transport. Aymo Boquis la lui accorde pour lui et sa descendance et reçoit l'hommage requis en telle circonstance.
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Suite à l'affirmation faite par les dizains du Valais que tous les habitants non juridictionnaires et possesseurs de biens à Dorénaz sont soumis à l'hommage lige envers l'hôpital Saint-Jacques, les souffertes et autres redevances devant être remises à l'hôpital, plusieurs accords ont été trouvés. D'autres usagers ont fait valoir leurs droits d'après des actes d'approbation antérieurs. Petrus Quarteri, notaire châtelain de Saint-Maurice, et ses assesseurs ont rendu la sentence suivante : les comparants devront soit s'acquitter des souffertes de ces pièces de terre, soit les restituer à l'hôpital qui les acensera. Les deux parties acceptèrent cet arbitrage.
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Hildebrand de Riedmatten, évêque de Sion, et l'assemblée des sept dizains de Valais affirment que tous les habitants non juridictionnaires et possesseurs de biens à Dorénaz sont soumis à l'hommage lige envers l'hôpital Saint-Jacques ; les souffertes et autres redevances doivent être remises à l'hôpital
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Ratification par Antonius Porralis, chanoine de Saint-Maurice et recteur de l'hôpital Saint-Jacques, et Joannes Paccolat, métral de Rosel, d'un acte concernant l'hommage lige dû à l'hôpital par les possesseurs de biens à Dorénaz
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Bien que le recteur de l'hôpital Saint-Jacques, Petrus de Ayent, ne soit pas tenu de remettre la grange et les terres mouvantes de l'hôpital appartenant à la succession de Perretus de Sombor, à son neveu Stephanus, fils de Mauricius, de Lex, le recteur y consent et reçoit l'hommage dudit Stephanus.
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Les co-seigneurs de Bex, Petrus et Gabriel de Duyno, cèdent les revenus d'une grange, de terres et prés au Bornuit (Bornuaz) à Candidus Fabri, pour l'hôpital Saint-Jacques dont il est le recteur, contre 23 florins, avec clause de rachat en cas de noblesse de fief.
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Antonius de Cojonay, recteur de l'hôpital Saint-Jacques de Saint-Maurice, aberge à Martinus Curtillier les biens (dont le détail est ici précisé) de Nicodus de Dorina, soumis à l'hommage lige, contre cinq coupes de froment, sept coupes de seigle et 10 sous maur. par an.
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Approbation par le chapitre de Saint-Maurice d'un accord d'abergement conclu avec Martinus Curtilier
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Un différend a surgi entre Wilfredus de Castellario, prieur d'Aigle et recteur de l'hôpital Saint-Jacques, et les usagers consorts de biens fonciers sis à Evionnaz à La Balmaz, à propos de terres nouvellement aménagées et mises en culture, sur lesquelles il n'était pas coutume de payer la dîme. Pour éviter les frais d'un procès, les deux parties, désireuses de trouver un accord amiable, ont élu des arbitres pour trancher la question
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Un vieux conflit opposant le recteur de l'hôpital Saint-Jacques (ici Claudius Bocie) et les habitants d'Evionnaz à propos des dîmes trouve une solution : les usagers des terres litigieuses seront tenus de verser les dîmes des céréales et légumes, mais sont exempts de celles du foin et du chanvre.
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Le recteur de l'hôpital Saint-Jacques, Mauricius Barmentius, procède à l'abergement perpétuel de dîmes portant sur des terres des environs d'Evionnaz à plusieurs personnes, à charge pour elles de désigner trois avantiers.
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Ratification d'un acte d'abergement de dîmes par des chanoines de Saint-Maurice, comme conseillers de l'hôpital Saint-Jacques.
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Joannes de Castellario, chanoine de Saint-Maurice et recteur de l'hôpital Saint-Jacques, aberge à Guillielmus Ganelli plusieurs terres près de Massongex, dont certaines insulaires, avec des clauses de restitution en cas des crues du Rhône, desquelles Guillielmus Ganelli est tenu de protéger au mieux ses terres ; le recteur se réserve les lodz et ventes, commissions et échutes
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Antonius Porralis, recteur de l'hôpital Saint-Jacques, accorde à Joannes et Franciscus Aymon la rémission de parcelles dont ils avaient l'abergement, en raison des dégâts causés par les crues du Rhône.
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A la requête des habitants de la plaine et montagne de Massongex , Claudius Laratti, chanoine de Saint-Maurice et recteur de l'hôpital Saint-Jacques, accepte de faire procéder à la délimitation d'une parcelle située sur une île au lieu-dit ouz Pelloz, à Massongex . Le reste de l'île sera laissée pour servir de pâturage commun. Petrus Charpillion, cosyndic de Massongex , proteste que cela ne doit pas préjuger de ses droits à l'avenir. Il est ensuite procédé au toisé de la parcelle, soit 120 toises sur 64 (pour quinze fauchées), et à la pose de bornes en ses limites.
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Antonius Bartholomaeus, chanoine de Saint-Maurice et recteur de l'hôpital Saint-Jacques, concède des terres au lieu-dit Les Illettes à Michaudus et Joannes de Illetes. Ceux-ci seront astreints à des redevances de 20 coupes de blé et deux chapons. Ils devront aussi aménager ces terres pour les défendre des crues du fleuve ; en cas d'inondation et de diminution de la condamine, un arbitrage est prévu pour réévaluer la redevance.
                28
Jacobus Melley reçoit 52 florins petit poids en dédommagement d'une parcelle de vigne qui avait été léguée par testament du 01.02.1595 à l'hôpital Saint-Jacques par feu Nicolaus Moret senior ; en effet, Jacobus Melley est héritier de Peroneta, épouse de Nicolaus Moret senior.
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Thomas, comte de Savoie, donne à l'abbaye de Saint-Maurice l'hôpital Saint-Jacques
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Suite à un différend survenu entre l'abbé de Saint-Maurice et Rodolphe, sacristain de Sion, au sujet des rang et fonctions à exercer par les chapelains des églises Saint-Jacques et Saint-Maurice d'Aigle, Bernard de Cheinio, archevêque de Tarentaise, déclare que l'église Saint-Jacques est l'église mère ; puis il règle les droits des chapelains touchant le baptême, le mariage, les oblations, les visites aux malades, les aumônes, les enterrements, les messes et la communion.
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L'abbé de Saint-Maurice, Barthélemy de Bartholomeis, et le recteur de l'hôpital Saint-Jacques, Hugo Tavelli, procèdent à une permutation de biens entre les deux établissements ; les biens concernés sont des prés, champs, jardins et les dîmes qui s'y rattachent.
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Mandement de l'évêque de Sion et son concile à tous officiers pour veiller à l'application d'une sentence arbitrale sur l'hôpital Saint-Jacques de Saint-Maurice
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Les bourgeois de Saint-Maurice, inquiets de voir que l'hôpital Saint-Jacques ne parvient pas à accueillir les pauvres qui viennent à Saint-Maurice, ont demandé à ce que soit nommé parmi eux un administrateur laïc perpétuel qui veille à la bonne gestion des revenus et biens de l'hôpital. Avec l'assentiment de l'abbé de Saint-Denis, l'évêque de Sion, Hildebrand de Riedmatten, approuve cette requête et ordonne qu'un bourgeois de Saint-Maurice soit désigné pour remplir cette charge et en rendre compte.
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Durant la vacance de l'hôpital Saint-Jacques à Saint-Maurice, les bourgeois se sont plaints que les pauvres n'étaient pas reçus et que des biens meubles et victuailles avaient été soustraits ; ils ont donc demandé que le recteur soit désormais élu du consentement mutuel des bourgeois et de l'abbé ; à quoi Jean Miles, abbé de Saint-Maurice, répondit que rien n'a été pris à l'hôpital et qu'il a fait entretenir ses biens, et que le recteur de l'hôpital a toujours été nommé par l'abbé de Saint-Maurice. L'évêque de Sion et le concile diocésain confirment l'abbé de Saint-Maurice dans cette prérogative, mais le somme de nommer un chanoine capable d'assumer au mieux la charge de recteur. Celui-ci tiendra l'inventaire des biens de l'hôpital en deux exemplaires, l'un pour l'abbé et l'autre pour l'évêque de Sion ; à sa mort ou résignation, il sera fait inventaire des victuailles demeurant à l'hôpital, pour la meilleure sustentation des pauvres. Le gouverneur de Saint-Maurice aura la charge de vérifier que dans cet hôpital, les pauvres sont bien traités et ne manquent de rien.
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L'abbé de Saint-Maurice, Martin Duplâtre, s'étant plaint que le gouverneur de Saint-Maurice, Stephanus Gurto, refusait de remettre aux mains du nouveau recteur de l'hôpital Saint-Jacques les biens immeubles et meubles de l'hôpital, en violation de la sentence rendue le 19.05.1573 par l'évêque de Sion d'alors, Jean Jordan, les habitants de Saint-Maurice ont fait savoir qu'ils craignaient de voir se détériorer l'accueil des pauvres et remarquer que la sentence exigeait la désignation d'un chanoine capable et compétent. L'évêque de Sion, Hildebrand von Riedmatten, avec le concile de son diocèse, a constaté que les biens meubles de l'hôpital s'amenuisaient à cause des dépouilles prises par les abbés à la mort des précédents recteurs, et des sommes abusivement reçues sur les deniers de l'hôpital à chaque nouvelle nomination. La sentence rendue est que désormais, l'abbé de Saint-Maurice sera tenu de nommer un recteur dont la capacité et les vertus seront reconnues ; que l'abbé ne recevra rien à la nomination d'un nouveau prieur et ne touchera plus rien des dépouilles du précédent. Les comptes de l'hôpital seront soumis au gouverneur de Saint-Maurice.
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Les bourgeois de Saint-Maurice et le gouverneur du lieu ont nommé un recteur pour l'hôpital Saint-Jacques, alors que la collation revient entièrement à l'abbé de Saint-Maurice, comme l'a confirmé une sentence souveraine du 19.07.1557 ; l'abbé Martin Duplâtre demande donc au gouverneur des quatre mandements d'Aigle, Benedictus d'Erlach, de forcer le gouverneur de Saint-Maurice à laisser le recteur nommé par l'abbé prendre possession de l'hôpital. Mais le gouverneur de Saint-Maurice proteste du dépérissement de l'hôpital. Néanmoins, les jurés de la cour d'Aigle déclarent ladite sentence souveraine toujours valable jusqu'à ce qu'elle soit révoquée par une autre sentence souveraine ; après quoi l'on ne pourra déroger à la nouvelle sentence, ni aux droits des bourgeois de Saint-Maurice
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Le recteur de l'hôpital Saint-Jacques, Claudius Bocis, chanoine de Saint-Maurice, s'étant plaint auprès de l'évêque de Sion, Jean Jordan, des empiètements sur sa juridiction de Dorénaz des officiers du gouverneur de Saint-Maurice, Gaspardus Furker, des titres et instruments notariaux sont produits, d'après lesquels toute justice à Dorénaz a de tous temps appartenu à l'hôpital, ainsi que les droits de mainmorte et d'abergement lors des successions... L'évêque de Sion et les dizeniers se prononcent pour une restriction de ladite juridiction à la basse et moyenne justice (15 et 10 sous), la haute justice dépendant des agents de l'évêque-comte de Sion.
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Note sur les prérogatives des basse, moyenne et haute justice à Dorénaz, et des conséquences du retrait de cette dernière à l'hôpital : celui-ci a cessé de nommer un châtelain, mais pas le métral, qui eut la charge des basses et moyennes justices. Suit un texte relatant la nomination, selon cette coutume, de Louis Bochatay à l'office de métral de Dorénaz par le recteur Jean Joseph Claret, pour une période de deux ans.
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Jean Joseph Claret, chanoine et recteur de l'hôpital Saint-Jacques, a choisi parmi trois personnes que les gens de Dorénaz lui ont proposé un métral de ce lieu, Louis Bochatay, qu'il doit ensuite présenter au gouverneur [de Saint-Maurice], comme le veut la coutume.
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Charles Oddet, chanoine et recteur de l'hôpital Saint-Jacques, a choisi parmi trois personnes que les gens de Dorénaz lui ont proposé un métral de ce lieu, Jaque Paccolat, qui a prêté serment et qui doit ensuite être présenté (pour la haute justice) au gouverneur [de Saint-Maurice].
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Charles Oddet, chanoine et recteur de l'hôpital Saint-Jacques, a choisi parmi trois personnes que les gens de Dorénaz lui ont proposé un métral de ce lieu, Jaque Paccolat, qui a prêté serment et qui doit ensuite être présenté (pour la haute justice) au gouverneur [de Saint-Maurice], Eugène de Sepibus.
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Charles Oddet, chanoine et recteur de l'hôpital Saint-Jacques, a choisi parmi trois personnes que les gens de Dorénaz lui ont proposés un métral de ce lieu, Jaque Paccolat, qui a prêté serment et qui doit ensuite être présenté (pour la haute justice) au gouverneur [de Saint-Maurice], Joseph Zurchircher.
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Charles Oddet, chanoine et recteur de l'hôpital Saint-Jacques, a choisi parmi trois personnes que les gens de Dorénaz lui ont proposé un métral de ce lieu, Jean Jaque Lombard, qui a prêté serment et qui doit ensuite être présenté (pour la haute justice) au gouverneur [de Saint-Maurice], Mauris Joseph Wequer, de Brigue.
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Joseph Nicolas Bruchex chanoine de Saint-Maurice et recteur de l'hôpital Saint-Jacques, a choisi parmi trois personnes que les gens de Dorénaz lui ont proposé un métral de ce lieu, Jean Jaque Lombard, qui a prêté serment et qui doit ensuite être présenté (pour la haute justice) au gouverneur [de Saint-Maurice], le capitaine Andermatten, de Sion
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Sur présentation [des gens de Dorénaz], George Schiner, recteur de l'hôpital Saint-Jacques, a choisi pour métral de ce lieu Jean Jaques Lombard et l'a présenté au gouverneur [de Saint-Maurice]
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Sur présentation [des gens de Dorénaz], George Schiner, recteur de l'hôpital Saint-Jacques, a choisi pour métral de ce lieu Michel Girod et l'a présenté au gouverneur [de Saint-Maurice]
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Sur présentation [des gens de Dorénaz], George Schiner, recteur de l'hôpital Saint-Jacques, a choisi pour métral de ce lieu Gaspar Paccolat et l'a présenté au gouverneur [de Saint-Maurice], de Sepibus, après réception du serment
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Sur présentation [des gens de Dorénaz], George Schiner, recteur de l'hôpital Saint-Jacques, a choisi pour métral de ce lieu François Bochatis et l'a présenté au gouverneur [de Saint-Maurice], Pierre Imboden, après réception du serment
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Sur présentation [des gens de Dorénaz], George Schiner, recteur de l'hôpital Saint-Jacques, a choisi pour métral de ce lieu Mauris Paccolat et l'a présenté au gouverneur [de Saint-Maurice], Joseph Wegener, après réception du serment