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Les informations ci-dessous représentent la structure des différents fonds d'archives, conformément à la terminologie précisée par la norme internationale ISAD(G) : un fonds peut être divisé en sous-fonds, série, sous-série, dossier et pièce. Si vous voulez des explications détaillées sur la façon de se déplacer dans cette hiérarchie, cliquez ici

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Livre de caisse du chanoine Fabri, économe de l'abbaye de Saint-Maurice en 1664-1665. Il enregistre quelques recettes en argent (p. 1) et des dépenses (p. 3-6). Les dépenses concernent essentiellement la vie quotidienne de la communauté (nourriture, vêtements, etc.).
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Fragments de livres de caisse d'un comptable de l'abbaye de Saint-Maurice entre 1693 et 1699 rassemblés en 3 exemplaires disparates (A, B, C), mais de la même main.
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Livre de caisse d'un comptable au service de l'abbaye de Saint-Maurice entre 1699 et 1703. Il note séparément et par ordre chronologique les dépenses et les rentrées d'argent en indiquant brièvement la nature de l'opération. Les recettes proviennent de la vente de redevances foncières et de l'amodiation de divers biens-fonds, parfois de rentes constituées. Les dépenses ont trait à la vie quotidienne de la communauté (habillement notamment), à l'exploitation des domaines (tuiles, etc.), aux voyages de l'abbé (Lucerne, Fribourg, Berne, etc.), aux messageries, etc. A relever: nombreuses dépenses liées aux difficultés politiques de l'abbé et à l'obtention de ses bulles d'investiture. A noter l'achat de " vin d‘absinthe " (p. 7). Les comptes de recettes et ceux de dépenses sont placés tête-bêche.
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Livre de caisse d'un comptable de l'abbaye, dans lequel sont notées par ordre chronologique, les dépenses en argent sur un peu plus de deux exercices. Elles concernent des frais inhérents à la vie quotidienne de la communauté abbatiale (nourriture, vêtement, messagerie, etc.) et à l'exploitation domaniale (salaires, transports, matériel, etc.). Additions et mémentos sur les pages de couverture.
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Livre de caisse d'un comptable de l'abbaye de Saint-Maurice en 1717-1718, résumant essentiellement des dépenses (p. 1-12) et quelques recettes (p. 20-19) dans l'ordre chronologique. Les dépenses ont trait à la vie quotidienne de la communauté (nourriture, textiles, messageries, aumônes, etc.) et à la gestion de ses domaines (gages, etc.). A relever: décompte embrouillé du paiement d'un fournisseur par l'abbé Defago en 1717 (p. 8). Cet abbé est peut-être le rédacteur de ce petit cahier.
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Livre de caisse d'un comptable au service de l'abbaye de Saint-Maurice en 1720-1721. Le cahier comprend les rubriques suivantes: dépenses en argent de l'abbaye en 1729 (p. 3-8); décomptes de particuliers en relations d'affaires avec l'abbaye en 1720-1721 (p. 11-17). Les dépenses ont surtout trait à la vie quotidienne de la communauté (nourriture, vêtements, gages de domestiques, etc.).
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Livre de caisse de l'abbaye de Saint-Maurice. Il se compose de deux parties: la première, tenue par le procureur de l'abbaye, porte sur la période allant de novembre 1721 à décembre 1723 (p. 1 - 52); la seconde est probablement tenue par l'abbé Jean Joseph Claret et elle couvre la période allant de janvier 1737 à décembre 1745. Dépenses et recettes, comptabilisées en argent, sont présentées chronologiquement, sans avoir créé de rubriques. Ce journal n'enregistre certainement pas toutes les dépenses et toutes les recettes, en argent et en nature, de l'abbaye de Saint-Maurice durant les périodes considérées. Ces comptes livrent de précieux renseignements sur la vie quotidienne, les voyages, etc. des religieux de Saint-Maurice au XVIIIe siècle. Les dépenses, enregistrées pêle-mêle, sont notamment des fermages, des amendes, des ventes de redevances, etc. La seconde partie présente bien des détails de la vie quotidienne et des relations sociales d'un seigneur-abbé (nonciature, évêché, gouvernements valaisan, bernois et fribourgeois, autorités régionales et locales, abbés de Hauterive, Abondance, etc.) A noter: détails sur l'impression de 400 exemplaires d'un ouvrage sur saint Maurice à Nancy (p. 56); autel privilégié (p. 66); impression de billets de communion (p. 69); études de théologie des chanoines du Grand-Saint-Bernard (p. 74 et 81; rénovation de l'autel du trésor (p. 76) et gages à des artistes peintres (p. 93 et 119); bains à Loèche (p. 98); achat de livres à Genève (p. 112 et 120); émeute de la populace de Bagnes (p. 151). Ces rubriques renvoient parfois à un grand livre. La foliotation est faite "à plat".
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Livre de caisse d'un comptable au service de l'abbaye de Saint-Maurice en 1734-1735. Ces comptes enregistrent des dépenses et des rentrées en relation avec la vie quotidienne de la communauté (nourriture, etc.) et l'exploitation domaniale de l'abbaye (vente de redevances en nature, etc.). A relever: des frais d'un procès à Berne à propos de Bex (p. 7, 13, 23), et pour des lettres de prêtrise de jeunes chanoines (p. 17).
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Livre de caisse de l'abbaye de Saint-Maurice étalé de 1737 à 1814. La première partie est de la main de l'abbé Jean Joseph Claret, de 1737 à 1764 (f. 1r-120r); la seconde est passée sous l'abbatiat de Jean Georges Schiner, de 1764 à 1794 (f. 120v-150r). A noter la relation d'une émeute à Bagnes (f. 45v); des bâtiments de Vérolliez (f. 70r-72r); la construction d'une prison (f. 73r-74r); un procès pour vol à Salaz (f. 128v); pour inceste à Vérossaz (f. 132v-133r et 139v); la relation de l'affaire du fief de Challant (f. 140r et v); le détail de la construction des grilles intérieures de l'abbaye pour remédier aux scandales (f. 149r). Ces rubriques présentées pêle-mêle livrent de nombreuses indications sur le clergé, les constructions de tous ordres à Saint-Maurice et dans les possessions de l'abbaye. Pour ce qui est du début du XIXe siècle, plusieurs petits chapitres sont présentés: des comptes divers, dans un ordre décousu (f. 153v-161v); un répertoire alphabétique (f. 164r-170r); des comptes de dépenses de l'année 1812 (f. 200r-217r); des notes relatives à divers particuliers (f. 220r-223r); un inventaire des possessions de l'abbaye en 1814 (f. 226r-230r); un état des personnes au service de l'abbaye en 1813 (f. 240r-243v); un bordereau des obligations, 1814 (f. 287r-298v); un état de la recette de 1812 à 1814 (f. 305r-311v); des comptes divers, 1768 (f. 369r); une liste partielle de messes votives du XVIIIe siècle (f. 369v); un état des fermes de l'abbaye en 1765 (f. 370v). Au début du registre, un répertoire alphabétique non folioté renvoie aux thèmes et aux comptes du XVIIIe siècle.
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Livre de caisse d'un comptable de l'abbaye de Saint-Maurice en 1746-1747. Ces comptes indiquent les dépenses en argent, classées chronologiquement, mais avec un mot indiquant la nature de chaque transaction en marge de beaucoup d'opérations. Ces comptes enregistrent des dépenses en relation avec la vie quotidienne de la communauté (nourriture, messagerie, etc.) et l'exploitation domaniale de l'abbaye (voiturages, constructions à Vétroz, etc.). A relever: prime versée à un homme qui a tué un ours (p. 8).
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Livre de caisse d'un comptable au service de l'abbaye de Saint-Maurice entre 1755 et 1761. Des comptes sont ouverts au nom de divers partenaires économiques de l'abbaye et le comptable note, au "doit" et à "l'avoir", les montants des opérations financières et quelques mots d'explication. Ces opérations ne sont pas toujours datées. Ces comptes concernent généralement l'exploitation et la vie quotidienne de l'abbaye, la culture de ses vignes (tonneliers, manoeuvres, etc.) et l'exploitation de ses domaines (fermiers). Ils impliquent souvent des spécialistes du bâtiment (maçons, menuisiers, etc.). Certains contrats sont reproduits (par exemple, p. 59 avec un fabricant de fourneaux lausannois, etc.). A relever: le décompte d'un pensionnaire, probablement un novice (p. 91); la plantation d'arbres fruitiers nains (pommiers et poiriers) à Saint-Maurice (p. 143); achat de sarments et de sel à Arbois (p. 150-151); vente de bois charriés par " le torrent " (p. 165). Nombreuses annexes: récépissés, devis, décomptes, etc. en relation avec les rubriques du registre.
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Livre de caisse de l'abbaye de Saint-Maurice, contenant notamment: les revenus en argent (dîmes, fermages, lods, ventes de céréales et de bétail, etc.) et les dépenses en argent (nourriture, bâtiments, exploitation domaniale, aumônes, voyages, etc.) de l'exercice 1761-1762 (p. 2-31); revenus et dépenses en argent pour l'exercice 1762-1763 (p. 35-62); revenus et dépenses pour l'exercice 1763-1764 (p. 64-95); revenus et dépenses pour l'exercice 1764-1765 (p. 96116). Ces rubriques sont classées par thèmes et chronologiquement, ce qui apparente ce registre à un livre de comptes, mais toutes les recettes n'y sont certainement pas enregistrées, notamment les recettes en nature, et ceci vaut également pour les dépenses. En fait, seul le procureur – voir l'intitulé du registre – a consigné les mouvements en argent qui passaient par ses mains, ce qui place ce document autnat dans la série " Livres de caisse " que dans celle des " Comptes généraux " de l'abbaye.
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Livre de caisse d'un receveur de l'abbaye de Saint-Maurice, probablement le chanoine Cortey auquel est adressée une lettre insérée dans le registre. Pour l'essentiel, les rubriques, classées par ordre chronologique, vont de novembre 1766 à décembre 1770. Elles concernent uniquement des dépenses en argent en relation avec la gestion des domaines de l'abbaye, la vie quotidienne des religieux, les frais de nourriture, de messagerie, de blanchisserie, etc. Les gages des domestiques, les salaires des ouvriers et les notes des artisans sont également pris en compte. Une pièce volante en annexe résume des rentrées de redevances céréalières en 1767-1768; une autre évoque la consolidation des berges du Rhône, une autre la présence d'un épave dans le Rhône. La quatrième est un billet à ordre tiré en 1753, adressé à un chapelain du Roi de France à Paris.
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Livre de caisse du procureur Cortey tenu entre 1765 et 1778. Au registre proprement dit sont adjoints des cahiers et des annexes. Ces dépenses et ces recettes en argent sont classées chronologiquement, mais non pas thématiquement. On distingue notamment: la passation des comptes avec l'ancien procureur (p. 1-2); les recettes encaissées de 1765 à 1767 (p. 3-13); les dépenses effectuées de 1765 à 1767 (p. 14-53); les recettes encaissées de 1767 à 1770 (p. 1-21, 2e cahier, nouvelle pagination); les recettes encaissées de 1770 à 1772 (p. 21-41 3e cahier); les recettes encaissées de 1772-1774 (p. 42-61, 4e cahier); les recettes encaissées de 1774 à 1778 (p. 62-97, du 5e cahier avec 2 annexes); les dépenses effectuées de 1767 à 1776 (p. 11-207, sur plusieurs cahiers annexés, autre pagination). On ne possède donc que les recettes des années 1776-1778. Elles proviennent de ressources des localités dans lesquelles l'abbaye possède des biens-fonds en Valais, dans le Pays de Vaud et ailleurs. Les dépenses concernent des frais d'exploitation des domaines et des revenus de l'abbaye, des frais d'entretien de la communauté, des frais de voyage, des notes d'artisan, etc. Ce livre de caisse n'enregistre pas la totalité des dépenses et des recettes en argent et en nature de l'abbaye durant la prériode considérée, mais une notable partie des transactions passées en argent.
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"Journal des reçus" du procureur de l'abbaye de Saint-Maurice en 1765-1767 comprenant notamment: des reçus divers, en argent, provenant de ventes de redevances en nature, de fermages, de dîmes amodiées, de versements de débiteurs laïcs et ecclésiastiques, de pensions, etc. (p. 3-17); un "journal des depences" en 1765-1767, en argent, affectées à des fournitures de nourriture, salaires de domestiques, matériaux les plus divers, habillement des religieux, achats de livres, frais de voyages et de messagerie, etc. (p. 21-30); des "conventions faites avec differents particuliers", portés dans les recettes et dans les charges de l'abbaye, soit des contrats de métayage, contrats de travail avec des ouvriers au service de l'abbaye, émoluments de chirurgien, frais de voiturages, de distillation de marc, etc. (p. 31-34); des "conventions faites avec les domestiques et autres ouvriers", portant sur des gages et autres frais facturés à l'abbaye par des artisans, etc. (p. 37-38). Ces rubriques sont classées chronologiquement. Des signes anotés en marge de certaines d'entre elles indiquent peut-être le bouclement de certains comptes. Toutes les dépenses et toutes les recettes de l'abbaye dans la période considérée ne sont probablement pas enregistrées dans ce "journal" du procureur Cortey. En page 1, ancien titre indiquant que ce cahier devait être utilisé comme catalogue des livres de la bibliothèque de l'abbaye.
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Dossier comprenant deux livres de caisse d'un comptable au service de l'abbaye.
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"Livre" de caisse d'un comptable au service de l'abbaye de Saint-Maurice n'enregistrant que les rentrées d'argent. Ces écritures ont été passées entre 1786 et 1789; elles semblent être de la même main. Les rubriques sont souvent peu détaillées, elles mentionnent l'origine géographique du prieuré, de la paroisse, de la grange, etc. d'où proviennent ces recettes. Rentrée d'argent n'est pas synonyme de revenu: il s'agit parfois d'un emprunt (p. 5). Certaines recettes proviennent de ventes, de redevances, d'amodiations, de fermages, etc.
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Livre de caisse d'un comptable au service de l'abbaye de Saint-Maurice en 1778-1789. En fait, ne sont enregistrées ici que les sorties d'argent. Les rubriques, classées chronologiquement, sont brièvement décrites. Les dépenses concernent la vie quotidienne de l'abbaye (nourriture, vêtements, etc.) et la gestion de ses domaines (salaires, constructions, voiturages, coupes de bois, etc.). A noter: liste et gages des domestiques de l'abbaye en 1788 (p. 17).
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Cinq cahiers de livre de compte d'un comptable au service de l'abbaye de Saint-Maurice entre 1789 et 1794.
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Livre de caisse comprenant plusieurs parties: 1) recettes et dépenses en argent du comptable d'un orphelinat algérien, probablement celui de Mdjez-Amar, financé par l'abbaye de Saint-Maurice, de décembre 1855 à février 1857 (p. 1-37); 2) comptes de recettes et de dépenses en argent " des économies de Monseigneur Bagnoud ", tenus par lui-même, de1876 à 1888 (p. 38-101); 3) petits comptes ponctuels de l'orphelinat algérien en 1855-1856, en argent et en nature, avec des estimations sur les céréales récoltées, le bétail perdu, le coût de la nourriture, etc. (p. 184-193). Les comptes de Monseigneur Bagnoud enregistrent toutes sortes de rubriques: opérations financières et bancaires, casuels, vêtements liturgiques, voyages, rénovations d'autels, etc. La " récapitulation générale de l'année 1878 ", par exemple, donne une idée des techniques comptables en usage dans l'abbaye à cette époque (p. 55). Le rapport qui existe entre les comptes de Monseigneur Bagnoud et ceux de l'abbaye proprement dite est difficile à préciser, mais ceux-ci ne recoupent pas complètement ceux-là. Les déboires de l'orphelinat fondé par l'abbaye agaunoise en Algérie transparaissent dans les remarques du comptable.
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Comptes courants de dépenses de l'abbaye de Saint-Maurice concernant le ravitaillement, le linge, le bétail, les artisans, les déplacements, le matériel d'écriture, les récompenses pour les peaux d'animaux (loups et cerf), le port des lettres et l'aumône aux pauvres.

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