|
|
|
You are here : CH > AASM > CPT > 800 > 000 > 010
Les informations ci-dessous représentent la structure des différents fonds d'archives, conformément à la terminologie précisée par la norme internationale ISAD(G) : un fonds peut être divisé en sous-fonds, série, sous-série, dossier et pièce. Si vous voulez des explications détaillées sur la façon de se déplacer dans cette hiérarchie, cliquez ici
| Fonds | Sous fonds | Série | Sous série | Dossier | Pièce | ||||||||||||
 |  | CH AASM | | | - CPT | | | - 800 | | - 0 | | | - 10 | ||||
| | 1 Dernier fragment d'un rôle de 62 reconnaissances, écrites sur 32 parchemins, transcrit au début du XVe siècle pour le compte de Nicodus de Liddes, noble. Détails sur la nature et les dates de paiements de certaines redevances seigneuriales communes en Valais (servicium, placitum, auxilium). | |||||||||||||||
| | 2 Registre de comptes de recettes en argent des seigneurs de Castellario, comprenant plusieurs rubriques: recettes des seigneurs de Castellario à Sembrancher en 1452 (p. 1-32) et à Bovernier en 1453 (p. 33-41); reconnaissances d'arrérages, de redevances dues, etc. souvent protocolés par le notaire Johannes de Loës, dans les années 1454-1455 (p. 42-47); recettes seigneuriales de nobles Johannes et Petrus de Castellario à Sembrancher et à Bovernier " in ville Digna " en 1452 (p. 49-66), ainsi qu'à Bagnes (p. 66-67); reddition des comptes de Johannes de Loës à Ybletus de Castellario en date du 27 septembre 1458 (p. 67); comptes nominatifs indéterminés (p. 68); listes des assujettis devant des arrérages à Johannes de Castellario sur l'exercice 1452 (p. 69-71); redditions des comptes de Johannes de Loës à Ybletus de Castellario en date du 21 septembre 1452 et écritures diverses (p. 72). La plupart de ces listes sont nominatives. Un système d'annotation alphabétique, en regard des noms des personnes qui doivent acquitter des redevances, permet d'avoir un aperçu de ceux qui ont acquitté leur dû, année après année. D'après ces indications, certaines rubriques du registre ont été en usage durant six ans (p. 33-41) ou même durant huit ans (p. 1-32). |