Fondation des Archives historiques de l'Abbaye de Saint-Maurice image de texte ancien
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Les informations ci-dessous représentent la structure des différents fonds d'archives, conformément à la terminologie précisée par la norme internationale ISAD(G) : un fonds peut être divisé en sous-fonds, série, sous-série, dossier et pièce. Si vous voulez des explications détaillées sur la façon de se déplacer dans cette hiérarchie, cliquez ici

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Les chanoines de l'abbaye de Saint-Maurice et leur représentant le prévôt Wido donnent à Arluinus, prieur des chanoines réguliers de Notre-Dame d'Abondance, avec l'accord d'Amédée III comte de Savoie et de Wido seigneur de Féternes, avoué de l'église de Notre-Dame d'Abondance, ladite église avec toute sa vallée et les droits et usages qui s'y rapportent
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Convention d'alliance entre les abbayes de Saint-Maurice et d'Abondance, par laquelle les deux institutions s'engagent sur certains points : règles à suivre en cas de passage de moines d'une abbaye dans l'autre, organisation des services pour les défunts, préséance entre les deux abbés, répartition des possessions des abbayes, accueil des moines en fuite, entraide mutuelle
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Barthélémy Sostion, abbé de Saint-Maurice, demande, sous peine d'excommunication, à Jacobus fils de Joannes Pelliex de se présenter dans les 6 jours à l'abbaye pour répondre des accusations de Jacobus Perrudeti sacristain de l'abbaye
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Claude de Blonay, abbé d'Abondance, agissant comme supérieur de l'abbaye de Sixt, et Jean Miles abbé de Saint-Maurice rendent leur arbitrage dans un conflit opposant Ludovicus de Assinariis abbé de Sixt et ses religieux au sujet des prémices ; après avoir entendu les arguments des deux parties, les arbitres décident que les attaques faites contre la cession des prémices par les abbés doivent cesser, mais que l'abbé Ludovicus de Assinariis n'est pas coupable
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Lettre des chanoines de Saint-Maurice au prince cardinal Maurice de Savoie, pour lui demander d'intervenir auprès des Feuillants occupant l'abbaye d'Abondance, afin qu'ils reconnaissent les droits de l'abbaye de Saint-Maurice et de celles de Sixt et Peillonnex en Faucigny, et que des chanoines réguliers y soient réintroduits
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Antoine Quarterii intercède auprès du cardinal Maurice de Savoie pour favoriser les chanoines de Saint-Maurice dans leur volonté de réintroduire les chanoines dans l'abbaye d'Abondance
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A la demande de Pierre Odet, abbé de Saint-Maurice, Gaspard Bérody fait comparaître plusieurs témoins pour qu'ils se prononcent sur les liens entre les abbayes de Saint-Maurice et d'Abondance, et note leurs dépositions. Les témoins sont Antonius Quarterii, Joannes Collot, Anatholius Boulard, Petrus de Macognino et Henricus de Macognino, et tous attestent de la dépendance de l'abbaye d'Abondance envers celle de Saint-Maurice.
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Lettre des chanoines de Saint-Maurice au prince cardinal Maurice de Savoie, lui demandant de prendre en considération leur volonté de réinstaller des chanoines réguliers dans l'abbaye d'Abondance occupée depuis 35 ans par les Feuillants, et de ne pas écouter les demandes du chanoine de Grilly qui s'y oppose
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Vespasien Aiazza, abbé de Notre-Dame d'Abondance, en raison du mauvais état de son abbaye, décide avec Pierre de Saint Bernard, général de la congrégation des Feuillants, l'introduction de douze pères Feuillants dans l'abbaye à la place des huit chanoines qui s'y trouvent. Il versera chaque année 640 écus d'or d'Italie aux Feuillants afin qu'ils accomplissent diverses tâches détaillées dans l'acte (messes, prédication, entretien des bâtiments, élevage, etc.)
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Petrus Franciscus Jaius, docteur en théologie, chanoine et théologien de Genève, confirme que la copie de l'acte du 26 octobre 1604, effectuée par Ludovicus Paulines, est bien authentique et fidèle, et que Ludovicus Paulines est bien notaire public
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Les abbés de Saint-Maurice et d'Abondance reçoivent les dépositions des religieux de l'abbaye de Sixt et de leur abbé Louis de Assinariis ; les premiers réclament la restitution des prémices qui leur avaient été concédées par l'ancien abbé et payent leurs vêtements, tandis que le second considère cette cession comme nulle. Les abbés de Saint-Maurice et d'Abondance renvoient l'affaire au 27 septembre, et déclarent que rien ne doit être fait entretemps qui puisse nuire à l'une ou l'autre des parties
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Claude de Blonay, abbé d'Abondance, agissant comme supérieur de l'abbaye de Sixt, et Jean Miles, abbé de Saint-Maurice, rendent leur arbitrage dans un conflit opposant Ludovicus de Assinariis abbé de Sixt et ses religieux au sujet des prémices ; après avoir entendu les arguments des deux parties, les arbitres décident que les attaques faites contre la cession des prémisses par les abbés doivent cesser, mais que l'abbé Louis Asinari n'est pas coupable
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Claude de Blonay, abbé de Notre-Dame d'Abondance, avec l'accord de Jean Miles abbé de Saint-Maurice, suite à la requête des religieux et chanoines de l'abbaye de Sixt, et en l'absence de Louis de Asinariis abbé de Sixt et de Stephanus Mocandi son sacristain, déclare ces derniers contumaces et les condamne au remboursement des frais des moines et de leurs procureurs ; cette décision devra être rendue publique par Joannes de Passier, prieur de SIxt.
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Johannes de Passier, commissaire chargé de la publication de la décision prise par les abbés d'Abondance et de Saint-Maurice le 27 septembre 1555, déclare que la sentence a été communiquée au chapitre de l'abbaye et à l'abbé conformément à la décision ; l'abbé a déclaré vouloir faire appel et a demandé une copie de cette execution
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François de Blens, notaire et procureur de Louis de Asinariis, prend note de la volonté de ce dernier de faire appel de la décision rendue par les abbés d'Abondance et de Saint-Maurice au sujet des prémices de l'abbaye de Sixt.
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Jean de Passier, prieur de l'abbaye de Sixt, accompagné de Bernard de Passier, Jean Granier et Pierre du Crot, demande à François de Bleus, notaire procureur de Louis de Asinariis, la copie des procures, exploits et actes passés devant le seigneur d'Abondance, qui les lui refuse, n'y étant pas obligé ; le notaire rédige un acte témoignant de cette demande et du refus, et en donne un au prieur, pour faire valoir leurs droits en temps et en lieu
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Jean de Miles, abbé de Saint-Maurice, annonce aux chanoines et à l'abbé de l'abbaye de Sixt qu'il a écrit à l'abbé d'Abondance et à celui de Sixt afin que la discorde qui y est née soit résolue à l'amiable et non dans un procès, et offre ses services pour résoudre cette affaire
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L'abbé d'Abondance assure les chanoines de Sixt de son soutien dans l'affaire qui les oppose à leur abbé, et déclare être prêt à se rendre à Chambery dès que cela sera nécessaire
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Les abbés d'Abondance et de Saint-Maurice écrivent au chapitre de l'abbaye de Sixt pour dire que, retenus par d'autres affaires, ils ne pourront pas se rendre à Chambery ; ces causes seront expliquées plus en détail par le messager Johannes. Les abbés conservent néanmoins leur soutien aux chanoines de Sixt dans leur différent avec leur abbé
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Louis IX, roi de France, ayant reçu de l'abbaye de Saint-Maurice des reliques du saint, fonde à Senlis un prieuré de chanoines réguliers ; il devra contenir 13 chanoines de saint Augustin portant le même habit que ceux de Saint-Maurice, dont le prieur élu devra être confirmé par le roi. Les chanoines devront dire un certain nombre de messes pour le roi et sa famille, et distribuer des aumônes aux pauvres. L'acte détaille enfin la liste des terres et droits concédés à l'abbaye
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Le pape Clément IV confirme l'acte de Robert, évêque de Senlis, établissant une communauté de chanoines à Senlis selon la fondation faite par Louis IX ; cet acte de l'évêque de Senlis était lui même confirmé par Egidius, archevêque de Tyr, légat pontifical pour la France
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Egidius, archevêque de Tyr et légat pontifical pour la France, confirme l'acte de Robert évêque de Senlis établissant une communauté de chanoines à Senlis selon la fondation faite par Louis IX
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Robert de Cressonessart, évêque de Senlis, règle les liens entre de la communauté de chanoines devant s'installer à Senlis selon la fondation faite par le roi de France Louis IX, et le pouvoir épiscopal de la ville ; l'évêque organise également plusieurs points de reglementation intérieure, comme l'élection du prieur ; le prieur de Senlis devra en outre effectuer tous les deux ans une visite à l'abbaye mère de Saint-Maurice
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Les chanoines de Saint-Maurice de Senlis, réunis dans le choeur de leur église, annoncent pour la seconde fois l'élection de Joannes de Novavilla après la mort de leur ancien prieur Stephanus ; toute réclamation devra être faite avant huit jours.
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Les chanoines de Saint-Maurice de Senlis nomment Ansellus de Parisius, chanoine de Saint-Maurice de Senlis, Raymondus, chanoine de Saint-Maurice d'Agaune, et Simon dit de Came leurs procureurs pour demander à l'abbé de Saint-Maurice d'Agaune la confirmation de l'élection de leur nouveau prieur, Joannes de Novavilla
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Les chanoines de Saint-Maurice de Senlis désignent Ansellinus de Parisius, prêtre et chanoine, et Hugo de Cavel, prêtre, comme procureurs pour demander auprès de l'abbé de Saint-Maurice d'Agaune confirmation de l'élection de Remigius de Platea alias de Cafosses, comme prieur.
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Adam de Murato, nouveau prieur de Saint-Maurice de Senlis, prête serment devant notaire en présence de l'abbé de Saint-Vincent, qui représente celui de Saint-Maurice d'Agaune absent ; suit le texte du serment prononcé
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Le roi de France, Charles V demande à l'abbé de Saint-Maurice de dispenser le nouveau prieur de Saint-Maurice de Senlis, Adam de Murat, de se rendre à Saint-Maurice d'Agaune, et de le confirmer par l'intermédiaire du prieur de Saint-Vincent de Senlis ou du doyen de Senlis, en raison des petits revenus du prieuré et des dangers des guerres
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Charles VI, roi de France, demande à l'abbé de Saint-Maurice de dispenser le nouveau prieur de Saint-Maurice de Senlis, Adam de Cafosses, de se rendre à Saint-Maurice d'Agaune, et de le confirmer en son absence, en raison des petits revenus du prieuré et des dangers des guerres
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Charles VIII, roi de France, demande à l'abbé de Saint-Maurice de confirmer l'élection de Simon de la Lende au prieuré de Saint-Maurice de Senlis, après la mort de Jean Tavernier ancien prieur
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Acte notarié relatant la lecture, dans l'église de Saint-Maurice de Senlis, d'une lettre devant être envoyée à Saint-Maurice d'Agaune et demandant la confirmation de l'élection d'Eustachius de Hallis à la place de Guido de Gonnessia ancien prieur décédé ; la lettre est citée dans le texte.
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Eustache, prieur de Saint-Maurice de Senlis, ne pouvant effectuer la visite à l'abbaye de Saint-Maurice tous les deux ans en raison de son état de santé, obtient de n'effectuer ces visites que tous les quatre ans pendant les huit prochaines années ; après cette période de huit ans, la périodicité des visites sera à nouveau de deux ans. En outre, en remerciement de cette faveur, le prieuré s'engage à percevoir la rente pour l'écarlate (scarletum) d'Abbeville, d'acheter tous les deux ans cette teinte pour le tissu, de l'apporter à Senlis puis de l'envoyer à Saint-Maurice, le tout à leurs frais
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Le chapitre de Saint-Maurice de Senlis désigne Ancellus de Parisius comme procureur et messager spécial pour demander confirmation, auprès de l'abbé et chapitre de Saint-Maurice d'Agaune, de l'élection d'Oudardus de Lagniaco après la mort de Joannes de Novavilla ancien prieur
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L'abbé de Saint-Maurice Jean Garetti, après lecture de deux actes annonçant l'élection de Petrus Strabonis comme nouveau prieur de Saint-Maurice de Senlis, l'autre demandant confirmation de cette élection, donne son accord au choix des chanoines
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Charles VI, roi de France, demande à l'abbé de Saint-Maurice la confirmation de l'élection de Pierre le Borgne comme nouveau prieur de Saint-Maurice de Senlis
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Les chanoines de Saint-Maurice de Senlis, qui ont élu Petrus Forestris comme prieur après la mort de Petrus le Borgne, demandent à l'abbé et aux chanoines de Saint-Maurice confirmation de cette élection
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Petrus Jovini, nouveau prieur de Saint-Maurice de Senlis élu après la mort de Petrus le Forestier, nomme Thomas Denis, l'aumônier et le prieur de Saint-Maurice procureurs pour demander à l'abbé de Saint-Maurice ou à ses représentants confirmation de son élection, ne pouvant lui-même se déplacer en raison des guerres et de la distance entre les deux abbayes
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Les chanoines de Saint-Maurice de Senlis, après la mort de leur prieur Reginaldus le Sergent et l'élection, par voie de compromis, de Joannes de Belvaco, demandent à l'abbé de Saint-Maurice confirmation de cette élection
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Le bailli de Senlis, les avocat et procureur du roi à Senlis écrivent à l'abbé de Saint-Maurice pour lui demander de confirmer l'élection du nouveau prieur de Saint-Maurice de Senlis Petrus Chardel, qui doit se rendre à Saint-Maurice muni de cette lettre
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Nicaisius Sanguin, prêtre et chanoine de Saint-Maurice de Senlis, absent lors de l'élection de Simon de Lenda comme nouveau prieur, confirme et approuve cette élection
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Le parlement de Paris, après l'appel des religieux de Saint-Maurice de Senlis refusant les articles de la réforme imposée par l'évêque de Senlis, rejette cet appel et confirme la réforme, tout en reservant sa décision concernant l'habit ; l'évêque de Senlis devra choisir six religieux bien réformés pour décider avec lui si la réforme peut se faire sans changement d'habit
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Lambertus Hotman, prieur de Saint-Maurice de Senlis, promet fidélité et obéissance à Barthélemy Sostion abbé de Saint-Maurice, et s'excuse auprès de lui de ne pas s'être présenté au chapitre général de Saint-Maurice en raison de son mauvais état de santé
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Barthélemy Sostion, abbé de Saint-Maurice, constate que Lambertus Hotman, prieur de Saint-Maurice de Senlis, ne s'est pas rendu au chapitre de Saint-Maurice comme il devait le faire ; l'abbé le considère comme contumace et désobéissant, et le menace d'excommunication s'il ne comparait pas au chapitre de Saint-Maurice avant le mois d'avril suivant
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Lambertus Hotman, prieur de Saint-Maurice de Senlis, nomme Natalis des Courtieulx [et un second dont le nom a été laissé blanc] ses procureurs, qui devront se présenter au chapitre de Saint-Maurice pour y présenter les excuses dudit prieur pour son absence, et donner à l'abbé de Saint-Maurice des documents scellés manifestant sa fidélité
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Lambertus Hotman, prieur de Saint-Maurice de Senlis, nomme Guilliermus Ronvillam, religieux de ce prieuré, son procureur afin qu'il comparaisse et le représente au chapitre de Saint-Maurice le 8 octobre, le prieur ne pouvant s'y rendre lui même en raison des dangers de la route et de sa santé
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Joannes Hotman, prieur de Saint-Maurice de Senlis, nomme Nicolaus Guillot, religieux de ce prieuré, pour le représenter au chapitre de Saint-Maurice qui doit se tenir le 1er août
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Joannes Chardonnet, abbé de Saint-Jean l'Evangéliste de Semur, déclare avoir recueilli Petrus de Foullon, religieux de Saint-Maurice de Senlis en fuite ; celui ayant déclaré avoir quitté son prieuré en raison de la volonté du prieur de changer l'habit des moines, Joannes Chardonnet l'absout et lui donne une pénitence en tant que vicaire général de l'abbé de Saint-Maurice
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Trois chanoines de Saint-Maurice de Senlis, Nicolaus Nanchio, Ludovicus Potin et Nicolaus Cani, écrivent à l'abbé de Saint-Maurice pour lui demander d'intervenir dans les affaires de leur prieuré ; en effet leur habit a été modifié, leur prieur est retenu à Saint-Victor, et Lambertus Hotman réclame le prieuré d'après une décision de Rome ; en outre 200 livres de revenus sont retenus sur les 300 dont dispose le prieuré et le reste suffit à peine aux besoins des religieux
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Les chanoines de Saint-Maurice écrivent à ceux de Senlis pour les encourager à résister aux attaques auxquelles ils font face, et leur annoncent la venue d'un chanoine de Saint-Maurice pour les soutenir
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