Fondation des Archives historiques de l'Abbaye de Saint-Maurice image de texte ancien
La Fondation
Archives de l'Abbaye
Fonds d'archives
Rechercher
Inventaires
Thésaurus
Edition de sources
Publications
Plan du site
Liens

 

Vous êtes ici : CH > EDIT > REG > 000 > 000 > 001 > 1117

Fiche précédenteFiche suivante

REG 0/0/1/1117

Vous êtes au niveau : Pièce

IDENTIFICATION

Date début21.01.1275
Date de fin21.01.1275
CoteREG 1117

CONTENU

ContenuTestament d'Amédée de Genève, évêque de Die. - Il institue son neveu, le comte Aimon, pour héritier universel de tous les biens qu'il possède dans le Genevois (in toto Gebenesio), ordonnant à ses vassaux et à ses châtelains de le reconnaître et de lui être fidèles comme à lui-même. Il lègue en outre à son cher Hugues, de Genève (Hugo de Gebennis), l'usufruit du tènement qu'il possède à Saconnex, dont la propriété reviendra libre au comte Aimon après la mort du dit Hugues. Témoins : A., évêque de Valence ; Hugues de Genève (Dominus Hugo Gebennensis) ; Rodolphe de Pontverre; et plusieurs autres, étrangers au diocèse de Genève.

SOURCES

BibliographieM. D. G. t. XIV, p. 405, n° 352, où cette charte a été par erreur placée en 1276, suivant le style paschal. - Conférez avec Valbonnais I, p. 227, et II, p. 13, Pr. n° 7. Cet historien rappelle qu'Amédée de Rossillon, évêque de Valence, avait obtenu en 1274 du pape Grégoire X, que son diocèse serait réuni à celui de Die en cas de vacance de ce dernier, et ajoute qu'en effet Amédée de Rossillon, après la mort de son oncle et parrain, Amédée de Genève, qui eut lieu, dit-il, en janvier suivant, occupa les deux évêchés et établit son siège dans la ville de Crest en Dauphiné. - Hugues de Genève, légataire et témoin dans la présente charte, était probablement le même que celui qui est mentionné dans un passage de l'obituaire de Lausanne au sujet d'un don d'Amédée pour la mémoire de son frère Aimon. Conf. REG 951. On ignore quelles pouvaient être les relations de cet Hugues avec la maison de Genève.
NotesCitation du texte : A. D. MCCLXXV, duodecimo Kal. Februarii.




Retour au sommet de la page