Bibliographie | Voyez la référence dans "Scriptoria Medii Aevii Helvetica. Denkmäler Schweizerischer Schreibkunst des Mittelalters - XIII : Schreibstäten der Diözese Sitten", herausgegeben von A. Bruckner, berarbeitet von J. Leisibach, Genf 1973, p. 130 n. 51. Voir aussi : J. BAUDOT, "Le missel romain : ses origines, son histoire", Paris 1912 (vol. I : "Les premières origines et les sacramentaires"). P. BORELLA, "Verso il messale plenario", dans "Ephemerides Liturgicae" 67, 1953, p. 338-340. F. CABROL, "Missel romain", dans "Dictionnaire d'archéologie chrétienne et liturgie", vol. 11/2, col. 1431 ss. J.-B. FERRERES, "Historia del misal romano", Barcelona 1929. C. CALLEWAERT, "Liturgicae institutiones", Bruges 1937-53. A. CHAVASSE, "Les ancêtres du Missale Romanum", 1570, Rome 1995. J. A. JUNGMANN, "El sacrificio de la misa. Tratado histórico-teológico", Madrid 1951. E. MARTENE, "De antiquis ecclesie ritibus", Bassano 1788 (vol. I-IV). J.-B. MOLIN, "Introduction à l'étude des rituels anciens", dans le "Bulletin du Comité des Etudes de Saint-Sulpice" 3, 1959, p. 675-69 et aussi : J.-B. MOLIN, "Pour une bibliographie des Rituels : leurs divers intitulés", dans "Ephemerides Liturgicae" 73, 1959, p. 218-224. E. PALAZZO, "Histoire des livres liturgiques : le Moyen-Âge", Paris 1993. P. SALMON, "Les manuscrits liturgiques latins de la Bibliothèque vaticane", Vatican 1968. H. A. P. SCHMIDT, "Introductio in liturgiam occidentalem", Rome 1960. C. VOGEL, "Introduction aux sources de l'histoire du culte chrétien au Moyen-Âge", Spolète 1981 (reédition anastatique). |
Notes | La page de garde porte ces deux notes : "Missale ad usum ecclesie de Valeria Sedunensis ..., acheté à Loèche en août 1878, [signé] Comte Riant. La reliure seule a été restaurée à Paris en 1880 par Dupré" et "donné à Monseigneur Paccolat et à la bibliothèque de l'abbaye de Saint-Maurice par la comtesse Riant, née d'Offémont". Il manque des pages entre les actuels f. 61/62 et f. 90/91. Un missel plénier ("Vollmissal"), contient toutes les parts de la messe (lectures, chants, etc.) en un seul livre, destiné à des messes non solennelles, appelé aussi "missale mistum" et, par corruption, "misticum". Avant la promulgation du "Missale Romanum" par Pie V (19 juillet 1570) beaucoup de diocèses avaient leur "Missale proprium", dans lequel les fêtes locales avaient plus de place. |