Fondation des Archives historiques de l'Abbaye de Saint-Maurice image de texte ancien
La Fondation
Archives de l'Abbaye
Fonds d'archives
Rechercher
Inventaires
Thésaurus
Edition de sources
Publications
Plan du site
Liens

 

You are here : CH > AASM > CPT > 300 > 001



Les informations ci-dessous représentent la structure des différents fonds d'archives, conformément à la terminologie précisée par la norme internationale ISAD(G) : un fonds peut être divisé en sous-fonds, série, sous-série, dossier et pièce. Si vous voulez des explications détaillées sur la façon de se déplacer dans cette hiérarchie, cliquez ici

  Fonds  Sous
fonds
  Série  Sous
série
  Dossier
Search from hereView record             
   Search from hereView record - CPT          
      Search from hereView record - 300       
         Search from hereView record - 1    
            Search from hereView record+ 1
Comptes divers tenus par l'aumônier Bastianus Trollietus pour son aumônerie (p. 1-68). Les recettes enregistrées dans ces comptes sont de nature essentiellement seigneuriales, en argent et en nature (forment). Certaines redevances sont dues à l'aumônier par l'abbé de Saint-Maurice (p. 4-6) et par le sacristain (p. 6-8). D'autres comptes sont tenus par l'aumônier agissant en tant que procureur de l'abbaye (p. 69-129). Le receveur tient aussi les comptes de recettes de l'autel et de la confrérie Saint-Sébastien (p. 102-106 et 113-117), de même que les revenus de noble Ansermus Jaquini passés à l'abbaye (p. 108-113). Ces comptes généraux détaillent également les prébendes de l'abbé et des chanoines (p. 130-143). Divers décomptes, en partie tronqués, concernent des procès et autres affaires (p. 144-150). Les listes des censitaires et autres assujettis sont nominatives; elles sont souvent dressées par localité. Un système d'annotations alphabétiques (a, b, c, etc.) en regard des noms des personnes qui doivent acquitter leurs redevances permet d'avoir un aperçu de celles qui ont acquitté leur dû, année après année (par exemple p. 51-56). D'autres surcharges prouvent que certains de ces documents ont servi de base à la levée des recettes jusqu'en 1562 (p. 8-14). En fait, le registre actuel est la résultante de plusieurs cahiers, complets ou amputés, utilisés à divers titres dans le second tiers du XVIe siècle.

Retour au sommet de la page