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Les informations ci-dessous représentent la structure des différents fonds d'archives, conformément à la terminologie précisée par la norme internationale ISAD(G) : un fonds peut être divisé en sous-fonds, série, sous-série, dossier et pièce. Si vous voulez des explications détaillées sur la façon de se déplacer dans cette hiérarchie, cliquez ici

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Saint Sigismond, roi des Burgondes, après avoir abjuré l'hérésie arienne, convoque à Agaune soixante évêques et autant de comtes. Au cours de cette assemblée, on règle les choses qui concernent l'abbaye de moines que le roi voulait y établir. On convient d'abord que seuls les corps des saints dont les noms sont connus (saints Maurice, Exupère, Candide et Victor) seront ensevelis dans l'enceinte de la basilique et que les corps des autres martyrs seront renfermés dans un autre lieu. On établit dans l'église la psalmodie perpétuelle et on choisit pour abbé Hymnemodus, que les évêques ont fait venir du monastère de Grigny. Les évêques décident que les moines, vu la perpétuité du choeur, seront exempts de travail manuel et qu'ils seront partagés en neuf troupes qui se succéderont jour et nuit pour les différentes heures de l'office. Ils ordonnent que, quant au temporel, le roi y pourvoirait et qu'ils seraient soumis au Saint Siège pour le spirituel, qu'ils seraient obligés d'obéir à l'abbé, qu'il y aurait un doyen pour chaque bande, qu'ils auraient un dortoir, un réfectoire et un chauffoir commun, que les fautes graves seraient punies selon les canons et les moins considérables selon le jugement de l'abbé et le consentement des frères, que le jeûne se pratiquerait comme dans les autres monastères, que personne ne sortirait du monastère sans la permission du prieur et que, s'il se trouve quelqu'un d'assez malheureux pour vouloir renverser ce qui est ici établi, l'abbé devra avoir recours au Siège apostolique. Le roi Sigismond pourvoit de la manière suivante à l'entretien du luminaire et du monastère de Saint Maurice : il donne de ses propres biens à perpétuité à saint Maurice et à ses serviteurs aux territoires de Lyon, de Vienne, de Grenoble et d'Aoste, soit dans le diocèse de Grenoble les "curtes" de Brion ou Pont en Beauvoisin (Briogia), Chuzelles (?) (Cacusa), Olgana (toponyme provenant du nom d'un ruisseau qui traverse Vourey), au territoire de Genève Commugny (Communiacum), Marin (Marianum), au territoire de Besançon Salins-les-Bains (Salinum) avec le château de Bracon, Mièges (Miegens), au Pays de Vaud Morat (Muratum), Oron (Auronum), Bouloz (Bodolosci), Vuadens (Wadingum), Lully (Luliacum), Lutry (Lustriacum), en Valais Conthey (Contextis), Sierre (Sidrium), Loèche (Leucam), Bramois (Bramosium), les Bernunes (Bernonam), Ollon (Aulonum), Villy (Williacum), Vouvry (Wovregium), Ottan (Actannis), Vernayaz (Octunnellum), avec Salvan (Silvano) et tous les alpages situés entre Martigny (Martiniacum) et la tête du lac, au Val d'Aoste une tour qui regarde vers l'Occident à Aoste, Elevaz (Eleuva), " Lagona ", " Gizoronis " et Morge (Morgam).
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Saint Sigismond, roi des Burgondes, après avoir abjuré l'hérésie arienne, convoqua à Agaune soixante évêques et autant de comtes. Au cours de cette assemblée, furent réglées les choses qui concernaient l'abbaye de moines que ledit saint roi voulait y établir en l'honneur de saint Maurice et de ses saints compagnons. On convint d'abord que seuls les corps des saints dont les noms étaient connus, savoir des saints Maurice, Exupère, Candide et Victor, seraient ensevelis dans l'enceinte de la basilique et que les corps des autres martirs seraient renfermés dans un autre lieu. Deuxièmement, on établit dans l'église la psalmodie perpétuelle. Troisièmement, on choisit pour abbé Hymnemodus, que les évêques avaient appellé et fait venir à cet effet du monastère de Grigny. Quant à la discipline monastique, les évêques réglèrent que les moines, vu la perpétuité du choeur, seraient exempts de travail manuel et qu'ils seraient partagés en neuf troupes qui se succéderaient jour et nuit pour les différentes heures de l'office. En outre, ils ordonnèrent que, quant au temporel, le roi y pourvoirait et qu'ils seraient soumis au Saint Siège pour le spirituel, qu'ils seraient tous obligés d'obéir à l'abbé, qu'ils feraient aussi ce que les prieurs ordonneraient et qu'il y aurait un doyen pour chaque bande, qu'ils auraient un dortoir, un réfectoire et un chauffoir commun, que les fautes graves seraient punies selon les canons et les moins considérables selon le jugement de l'abbé et le consentement des frères, que le jeûne se pratiquerait comme dans les autres monastères, que personne ne sortira du monastère sans la permission du prieur et que, s'il se trouve quelqu'un d'assez malheureux pour vouloir renverser ce qui est ici établi, l'abbé devra avoir recours au Siège apostolique. Toutes ces choses étant ainsi réglées par les évêques, le roi Sigismond pourvut de la manière suivante, en présence desdits évêques et comtes, à l'entretien du luminaire et du monastère de Saint Maurice : il donna de ses propres biens à perpétuité à saint Maurice et à ses serviteurs aux territoires de Lyon, de Vienne, de Grenoble et d'Aoste dans le diocèse de Grenoble les "curtes" de Brion ou Pont en Beauvoisin (Briogia), Chuzelles (?) (Cacusa), Olgana (toponyme provenant du nom d'un ruisseau qui traverse Vourey), au territoire de Genève, Commugny (Communiacum), Marin (Marianum), au territoire de Besançon, Salins-les-Bains (Salinum) avec le château de Bracon, Mièges (Miegens), au Pays de Vaud, Morat (Muratum), Oron (Auronum), Bouloz (Bodolosci), Vuadens (Vadingum), Lully près de Morges (Luliacum), Lutry (Lustriacum), en Valais, Conthey (Contextis) Sierre (Sidrium), Loèche (Leucam), Bramois (Bramosium), Bernunes, lieu-dit de la commune de Sierre (Bernonam), "Duodecimum Paternum", Ollon (Aulonum), Villy (Villiacum), Vouvry (Wouregium), Ottan (Actannis), Vernayaz (Octunellum), avec Salvan (Silvano) et tous les alpages situés entre Martigny et le début du lac Léman, au Val d'Aoste, une tour qui regarde vers l'Occident à Aoste, Elevaz (Eleuva), "Lagona", "Gizoronis" et Morge (Morgan).
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Saint Sigismond, roi des Burgondes, après avoir abjuré l'hérésie arienne, convoqua à Agaune soixante évêques et autant de comtes. Au cours de cette assemblée, furent réglées les choses qui concernaient l'abbaye de moines que ledit saint roi voulait y établir en l'honneur de saint Maurice et de ses saints compagnons. On convint d'abord que seuls les corps des saints dont les noms étaient connus, savoir des saints Maurice, Exupère, Candide et Victor, seraient ensevelis dans l'enceinte de la basilique et que les corps des autres martirs seraient renfermés dans un autre lieu. Deuxièmement, on établit dans l'église la psalmodie perpétuelle. Troisièmement, on choisit pour abbé Hymnemodus, que les évêques avaient appellé et fait venir à cet effet du monastère de Grigny. Quant à la discipline monastique, les évêques réglèrent que les moines, vu la perpétuité du choeur, seraient exempts de travail manuel et qu'ils seraient partagés en neuf troupes qui se succéderaient jour et nuit pour les différentes heures de l'office. En outre, ils ordonnèrent que, quant au temporel, le roi y pourvoirait et qu'ils seraient soumis au Saint Siège pour le spirituel, qu'ils seraient tous obligés d'obéir à l'abbé, qu'ils feraient aussi ce que les prieurs ordonneraient et qu'il y aurait un doyen pour chaque bande, qu'ils auraient un dortoir, un réfectoire et un chauffoir commun, que les fautes graves seraient punies selon les canons et les moins considérables selon le jugement de l'abbé et le consentement des frères, que le jeûne se pratiquerait comme dans les autres monastères, que personne ne sortira du monastère sans la permission du prieur et que, s'il se trouve quelqu'un d'assez malheureux pour vouloir renverser ce qui est ici établi, l'abbé devra avoir recours au Siège apostolique. Toutes ces choses étant ainsi réglées par les évêques, le roi Sigismond pourvut de la manière suivante, en présence desdits évêques et comtes, à l'entretien du luminaire et du monastère de Saint Maurice : il donna de ses propres biens à perpétuité à saint Maurice et à ses serviteurs aux territoires de Lyon, de Vienne, de Grenoble et d'Aoste dans le diocèse de Grenoble les "curtes" de Brion ou Pont en Beauvoisin (Briogia), Chuzelles (?) (Cacusa), Olgana (toponyme provenant du nom d'un ruisseau qui traverse Vourey), au territoire de Genève, Commugny (Communiacum), Marin (Marianum), au territoire de Besançon, Salins-les-Bains (Salinum) avec le château de Bracon, Mièges (Miegens), au Pays de Vaud, Morat (Muratum), Oron (Auronum), Bouloz (Bodolosci), Vuadens (Vadingum), Lully près de Morges (Luliacum), Lutry (Lustriacum), en Valais, Conthey (Contextis) Sierre (Sidrium), Loèche (Leucam), Bramois (Bramosium), Bernunes, lieu-dit de la commune de Sierre (Bernonam), "Duodecimum Paternum", Ollon (Aulonum), Villy (Villiacum), Vouvry (Wouregium), Ottan (Actannis), Vernayaz (Octunellum), avec Salvan (Silvano) et tous les alpages situés entre Martigny et le début du lac Léman, au Val d'Aoste, une tour qui regarde vers l'Occident à Aoste, Elevaz (Eleuva), "Lagona", "Gizoronis" et Morge (Morgan).
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Saint Sigismond, roi des Burgondes, après avoir abjuré l'hérésie arienne, convoqua à Agaune soixante évêques et autant de comtes. Au cours de cette assemblée, furent réglées les choses qui concernaient l'abbaye de moines que ledit saint roi voulait y établir en l'honneur de saint Maurice et de ses saints compagnons. On convint d'abord que seuls les corps des saints dont les noms étaient connus, savoir des saints Maurice, Exupère, Candide et Victor, seraient ensevelis dans l'enceinte de la basilique et que les corps des autres martirs seraient renfermés dans un autre lieu. Deuxièmement, on établit dans l'église la psalmodie perpétuelle. Troisièmement, on choisit pour abbé Hymnemodus, que les évêques avaient appellé et fait venir à cet effet du monastère de Grigny. Quant à la discipline monastique, les évêques réglèrent que les moines, vu la perpétuité du choeur, seraient exempts de travail manuel et qu'ils seraient partagés en neuf troupes qui se succéderaient jour et nuit pour les différentes heures de l'office. En outre, ils ordonnèrent que, quant au temporel, le roi y pourvoirait et qu'ils seraient soumis au Saint Siège pour le spirituel, qu'ils seraient tous obligés d'obéir à l'abbé, qu'ils feraient aussi ce que les prieurs ordonneraient et qu'il y aurait un doyen pour chaque bande, qu'ils auraient un dortoir, un réfectoire et un chauffoir commun, que les fautes graves seraient punies selon les canons et les moins considérables selon le jugement de l'abbé et le consentement des frères, que le jeûne se pratiquerait comme dans les autres monastères, que personne ne sortira du monastère sans la permission du prieur et que, s'il se trouve quelqu'un d'assez malheureux pour vouloir renverser ce qui est ici établi, l'abbé devra avoir recours au Siège apostolique. Toutes ces choses étant ainsi réglées par les évêques, le roi Sigismond pourvut de la manière suivante, en présence desdits évêques et comtes, à l'entretien du luminaire et du monastère de Saint Maurice : il donna de ses propres biens à perpétuité à saint Maurice et à ses serviteurs aux territoires de Lyon, de Vienne, de Grenoble et d'Aoste dans le diocèse de Grenoble les "curtes" de Brion ou Pont en Beauvoisin (Briogia), Chuzelles (?) (Cacusa), Olgana (toponyme provenant du nom d'un ruisseau qui traverse Vourey), au territoire de Genève, Commugny (Communiacum), Marin (Marianum), au territoire de Besançon, Salins-les-Bains (Salinum) avec le château de Bracon, Mièges (Miegens), au Pays de Vaud, Morat (Muratum), Oron (Auronum), Bouloz (Bodolosci), Vuadens (Vadingum), Lully près de Morges (Luliacum), Lutry (Lustriacum), en Valais, Conthey (Contextis) Sierre (Sidrium), Loèche (Leucam), Bramois (Bramosium), Bernunes, lieu-dit de la commune de Sierre (Bernonam), "Duodecimum Paternum", Ollon (Aulonum), Villy (Villiacum), Vouvry (Wouregium), Ottan (Actannis), Vernayaz (Octunellum), avec Salvan (Silvano) et tous les alpages situés entre Martigny et le début du lac Léman, au Val d'Aoste, une tour qui regarde vers l'Occident à Aoste, Elevaz (Eleuva), "Lagona", "Gizoronis" et Morge (Morgan).
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Ancienne chronique de l'abbaye de Saint-Maurice dans laquelle, après avoir rapporté en substance la fondation de l'abbaye par saint Sigismond et la confirmation de celle-ci par les rois suivants, on y donne les noms des 32 premiers abbés qui ont gouverné le monastère depuis la fondation jusqu'à peu près à l'époque de l'expulsion des moines sous l'empereur Louis le Débonnaire.
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Ancienne chronique de l'Abbaye dans laquelle, après avoir rapporté en substance la fondation de ladite Abbaye par saint Sigismond et la confirmation de celle-ci par les rois suivants, on y donne le nom des 32 premiers abbés qui ont gouverné le monastère de Saint Maurice depuis la fondation jusqu'à peu près à l'époque de l'expulsion des moines sous l'empereur Louis le Débonaire. A la fin de cet acte, se trouve la copie de la bulle d'Eugène I accordée à la prière du roi Clovis II
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Ancienne chronique de l'Abbaye dans laquelle, après avoir rapporté en substance la fondation de ladite Abbaye par saint Sigismond et la confirmation de celle-ci par les rois suivants, on y donne le nom des 32 premiers abbés qui ont gouverné le monastère de Saint Maurice depuis la fondation jusqu'à peu près à l'époque de l'expulsion des moines sous l'empereur Louis le Débonaire.
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Ancienne chronique de l'Abbaye dans laquelle, après avoir rapporté en substance la fondation de ladite Abbaye par saint Sigismond et la confirmation de celle-ci par les rois suivants, on y donne le nom des 32 premiers abbés qui ont gouverné le monastère de Saint Maurice depuis la fondation jusqu'à peu près à l'époque de l'expulsion des moines sous l'empereur Louis le Débonaire.
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Rodolphe III, roi de Bourgogne, à la prière de Bourcard, archevêque de Lyon et prévôt de l'abbaye d'Agaune, confirme aux chanoines de ladite abbaye la donation du village de Pully que le roi Conrad le Pacifique, son père, leur avait déjà faite.
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Rodolphe III, roi de Bourgogne, à la prière de Bourcard, archevêque de Lyon et prévôt de l'abbaye d'Agaune, confirme aux chanoines de ladite abbaye la donation du village de Pully que le roi Conrad le Pacifique, son père, leur avait déjà faite.
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Rodolphe III donne à Rozelin (Ruohelin) et à sa fidèle Amandole et à deux de leurs héritiers la terre voisine du lieu appelé Ottans (Autunnis) proche d'Octodure comme étant une terre de Saint-Maurice avec toutes ses dépendances, édifices, champs, prés, pâturages, alpages, en plaine et en montagne, etc., à condition de payer annuellement 12 sous à L'église de Saint-Maurice. Ladite terre reviendra à ladite abbaye après la mort de deux héritiers, si elle le souhaite.
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Rodolphe III donne à Rozelin (Ruohelin) et à sa fidèle Amandole et à deux de leurs héritiers la terre voisine du lieu appelé Ottans (Autunnis) proche d'Octodure comme étant une terre de Saint-Maurice avec toutes ses dépendances, édifices, champs, prés, pâturages, alpages, en plaine et en montagne, etc., à condition de payer annuellement 12 sous à L'église de Saint-Maurice. Ladite terre reviendra à ladite abbaye après la mort de deux héritiers, si elle le souhaite.
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Rodolphe III, à la prière de la reine Ermengarde, des comtes Berthold, Rodolphe et Robert, des évêques Hugues de Sion, Henri de Lausanne, Hugues de Genève, Bourcard de Lyon, Anselme d'Aoste et de Pandolphe avec les autres frères, donne ou rend à l'abbaye d'Agaune les choses suivantes déjà données par ses prédécesseurs : les fiscs de Sigiciacum (Sciez ?), Lully près de Morges (Lulliacum), Commugny (Comuniacum), la moitié de Pully (Pulliacum), Oron (Auronum), Vuadens (Vuadengis), Bouloz (Bedolosci), le plaid de Vevey (Vivesio), Lutry (Lutriacum), Vouvry (Vobreium), Ollon (Aulonum), Villy (Villia), Naters (Nares), la moitié du bourg de Saint-Maurice, le four, le moulin, les deux tiers du tonlieu du sel et les alpages du Chablais.
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Extrait du diplôme du roi Rodolphe III de Bourgogne. Celui-ci, à la prière de la reine Ermengarde, des comtes Berthold, Rodolphe et Robert, des évêques Hugues de Sion, Henri de Lausanne, Hugues de Genève, Bourcard de Lyon, Anselme d'Aoste et de Pandolphe avec les autres frères, donne ou rend à l'abbaye d'Agaune les choses suivantes déjà données par ses prédécesseurs : les fiscs de Sciez (?) (Sigiciacum), Lully près de Morges (Lulliacum) Commugny (Communiacum), la moitié de Pully (Puliacum), Oron (Auronum), Vuadens (Vuadens), Bouloz (Bedolosci), le plaid de Vevey (Vivesio), Lutry (Lustriacum), Vouvry (Vubreium), Ollon (Aulonum), Loèche (Luchiam), Naters (Nares), la moitié du bourg de Saint-Maurice, le four, le moulin, les deux tiers du tonlieu du sel et les alpages du Chablais.
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Rodolphe III, à la prière de la reine Ermengarde, des comtes Berthold, Rodolphe et Robert, des évêques Hugues de Sion, Henri de Lausanne, Hugues de Genève, Bourcard de Lyon, Anselme d'Aoste et de Pandolphe avec les autres frères, donne ou rend à l'abbaye d'Agaune les choses suivantes déjà données par ses prédécesseurs : les fiscs de Sciez (?) (Sigiciacum), Lully près de Morges (Lulliacum) Commugny (Comuniacum), la moitié de Pully (Pulliacum), Oron (Auronum), Vuadens (Vuadengis), Bouloz (Bedolosci), le plaid de Vevey (Vivesio), Lutry (Lutriacum), Vouvry (Vobreium), Ollon (Aulonum), Loèche (Luchia), Naters (Nares), la moitié du bourg de Saint-Maurice, le four, le moulin, les deux tiers du tonlieu du sel et les alpages du Chablais. (vidimus)
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Rodolphe III, à la prière de la reine Ermengarde, des comtes Berthold, Rodolphe et Robert, des évêques Hugues de Sion, Henri de Lausanne, Hugues de Genève, Bourcard de Lyon, Anselme d'Aoste et de Pandolphe avec les autres frères, donne ou rend à l'abbaye d'Agaune les choses suivantes déjà données par ses prédécesseurs : les fiscs de Sigiacum (Sciez), Lully près de Morges (Lulliacum), Commugny (Communiacum), la moitié de Pully (Pulliacum), Oron (Auronum), Vuadens, Bouloz (Bedelosci), le plaid de Vevey (Vivesio), Lutry (Lutriacum), Vouvry (Vauvrerium), Ollon (Aulonum), Loèche (Luchiam), Naters (Nares), la moitié du bourg de Saint-Maurice, le four, le moulin, les deux tiers du tonlieu du sel et les alpages du Chablais.
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Rodolphe III, à la prière de la reine Ermengarde, des comtes Berthold, Rodolphe et Robert, des évêques Hugues de Sion, Henri de Lausanne, Hugues de Genève, Bourcard de Lyon, Anselme d'Aoste et de Pandolphe avec les autres frères, donne ou rend à l'abbaye d'Agaune les choses suivantes déjà données par ses prédécesseurs : les fiscs de Sigiciacum (Sciez ?), Lully près de Morges (Lulliacum), Commugny (Communiacum), la moitié de Pully (Pulliacum), Oron (Auronum), Vuadens (Vuadengis), Bouloz (Bedolosci), le plaid de Vevey (Vivesio), Lutry (Lutriacum), Vouvry (Vobreium), Ollon (Aulonum), Villy (Villiam), Naters (Nares), la moitié du bourg de Saint-Maurice, le four, le moulin, les deux tiers du tonlieu du sel et les alpages du Chablais.
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Première copie : Devant le Conseil d'Amédée VIII, Hugoninus de Sermoya, procureur de l'abbé Jean de Sostion demande un vidimus de l'acte suivant : Rodolphe III, à la prière de la reine Ermengarde, des comtes Berthold, Rodolphe et Robert, des évêques Hugues de Sion, Henri de Lausanne, Hugues de Genève, Bourcard de Lyon, Anselme d'Aoste et de Pandolphe avec les autres frères, donne ou rend à l'abbaye d'Agaune les choses suivantes : les fiscs de Sigiciacum (Sciez ?), Lully près de Morges (Luliacum), Commugny (Comuniacum), la moitié de Pully (Pulliacum), Oron (Auronum), Vuadens (Vuadegis), Bouloz (Bedolosci), le plaid de Vevey (Vivesio), Lutry (Lutriacum), Vouvry (Vovrerium), Ollon (Aulonum), Villy (Villia), Naters (Nares), la moitié du bourg de Saint-Maurice, le four, le moulin, les deux tiers du tonlieu du sel et les alpages du Chablais. Seconde copie : Marguerite de Kibourg donne à l'abbaye de Saint-Maurice le droit qu'elle possède sur les langues des boeufs qui se tuent à Saint-Maurice et les revenus qui en découlent.
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Louis IX (saint Louis), roi de France, fait présent à l'abbaye de Saint-Maurice d'une des épines de la courone de notre Seigneur Jésus-Christ en reconnaissance des corps des saints martyrs thébains, que l'abbé de ce temps-là lui a porté pour le prieuré de Senlis.

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