Fondation des Archives historiques de l'Abbaye de Saint-Maurice image de texte ancien
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Répertoire du registre de Bex pour la dîme. Il s'agit d'un index des personnes apparaissant dans les actes et reconnaissances, qui se présente par ordre alphabétique
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Préambule du registre de Bex pour la dîme. Dans un premier temps, le préambule délimite le territoire soumis à la dîme de l'Abbaye de Saint Maurice. Il est fait mention des actes passés relatifs à la possession de territoires. Apparaît également une légitimation du registre, expliquant qu'il faut éviter les contestations des personnes soumises à la dîme, et que d'autre part, l'impulsion vient de l'exemple bernois, qui par sécurité opère des reconnaissances. A la page XXV (non foliotée) sont présentés les producteur et rédacteur du dit document. On y trouve : Jean Joseph Claret, abbé de l'Abbaye de Saint Maurice, chevalier des ordres militaires de Saint Maurice Lazare, seigneur des juridictions de Gryon, Lavey, Bagnes, Vollèges, Salvan, Finhaut, Verossaz, Choëx, Auboranges et autres lieux. Et le notaire public Jacob Genet, patenté de leurs excellences de Berne, ancien châtelain de Bex, moderne jugé de Sallaz. Le rédacteur du document déclare avoir établi deux doubles de plans (relatifs aux parcelles) copiés sur les originaux dréssés par Jean Grevoulet, commissaire. Un des doubles plans contient le territoire de Lavex, et l'autre de Bex, dépendant de cette dîmerie. Le présent registre fait également apparaître la nature des parcelles faisant l'objet d'une reconnaissance. De manière générale, la quote de la dîme appliquée est la même que pour les habitants de Saint Maurice, soit une quote d'un onzième. La page XXVIII décrit la manière de tenir les registres, leur organisation et les plans y relatifs. La page XXIX traite de la structure des reconnaissances, des répertoires et de la tenue des rentiers. La dernière page (XXX) explicite les éléments qui n'apparaissent pas dans les registres et fait mention de la force de loi dont bénéficie ces reconnaissances.
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Beat Sigismond Ougspourguer, gouverneur des quatre mandements d'Aigle fait savoir que le procureur de l'Abbaye de Saint Maurice se conforme aux ordres de Berne. Dèslors, ladite Abbaye doit prêter reconnaissance des pièces des communes de Bex et de Lavey, afin de se prévenir le type de procès qui eut lieu par le passé à l'occasion de la perception de la dîme. A cet effet, Egrege Jacob Genet, ancien châtelain de l'Abbaye, est commis à la rédaction des reconnaissances. Cela concerne aussi les affranchissements, puisque chaque titulaire d'un tel acte se devra d'en faire la production auprès de Jacob Genet, sous peine de comparaître en chambre gouvernale. La demande est également faite aux gouverneurs de Saint Maurice de soumettre aux mêmes sentences les possesseurs de l'Etat du Valais pour leurs biens situés à Bex.
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Sentence rendue contre ceux de Lavey (communauté de Lavey), par Philippe Schmaltz, bourgeois du grand conseil de la ville de Berne, gouverneur d'Aigle, concernant un procès attenté contre le monastère de Saint Maurice. Les dits gens de Lavey prétendaient que le monastère percevait une dîme trop importante relativement à l'ancienne coutume. Aussi, la communauté de Lavey voulu obliger ledit monastère à produire l'acte de dîmerie. Cependant, les deux parties étant arrivées à un arrangement, Philippe Schmaltz convient d'un règlement amical de la situation. Le terme de cet arrangement consiste en une condamnation de la communauté des gens de Lavey, somme toute assez modeste. Pour les détails du règlement, voir pages XXXVI et XXXVII
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Mandat d'Emanuel Rihyner, gouverneur des quatre mandements d'Aigle, concernant le statut de biens situés à Bex détenus par Vidomne De Quartéri, monsieur De Lapierre, Christine Elisabeth (dont De Lapierre a procure) et le lieutenant Rappet. De fait, le gouverneur demande des explications aux possesseurs afin de savoir si ces parcelles de terre sont franches de dîme ou non. Il semblerait que les dits propriétaires n'en n'aient pas fait les procurations requises. La fin du document consiste en une réponse desdits possesseurs. Ces derniers, devant les Excellences de Berne, contestent ledit gouverneur. Ils déclarent n'être pas concernés par ce mandat et semblent pouvoir en apporter la preuve.
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Mandat que confie l'archevêque de Rhodes à Jean Joseph Blatter évêque de Sion, dans le but de mettre fin à une dispute entre le collège de Saint Maurice et les bourgeois d'Agaune. Ce mandat doit donner lieu soit à une sentence, un arbitrage ou un arrangement à l'amiable. Le sujet de la discorde concerne le traité de bagnes. L'archevêque de Rhodes considère ce traité comme invalide puisque'il lèse trop les droits de l'église. Il demande alors l'évêque de Sion de refondre de nouvelles conditions. Dès le bas de la page IXL, jusqu'à la fin du document (p.IIL, non foliotée), il s'agit de la sentence du tribunal qui fait suite à ladite affaire. Cette sentence engage un arrangement à l'amiable, alors préféré par tous. Cette transaction se décline en quinze articles ayant force de loi
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Sentence rendue par Beat Sigismond Ougapourguer au sujet d'un litige concernant la dîme que possède l'abbaye de Saint Maurice sur des biens situés à Bex. Il s'agit de savoir si, comme l'affirment les possesseurs, il s'agit de vignes franches de dîme. La sentence considère que les productions des possesseurs sont insuffisantes, et que, à moins de présenter des actes d'affranchissement, ils doivent payer la dîme dite générale à l'abbaye de Saint Maurice
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Le justicier Oyon et consorts de Bex se rendent devant Beat Sigismond Ouspourguer et le procureur de l'abbaye de Saint Maurice, et abandonnent leur appel à la sentence rendue le sept janvier au sujet des vignes en Crie. De fait, ils se conforment à ladite sentence, et "offrent" de payer les frais de justices.
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Sentence rendue à Aigle par Beat Sigismond Ougspourguer, au sujet d'une quote de dîme à laquelle sont soumises des vignes appartenant à des bourgoies de Saint Maurice. Ces derniers contestent la quote fixée au vingtième, arguant que le statut de bourgeois ne les soumette qu'à la quote vingt cinquième de dîme, comme cela semble avoir été le cas avant le traité de Bagnes. La décision semble donner tort aux bouregois ("...Avons trouvé que dans la dîmerie de l'Abbaye...est depuis longetmps déterminée au vingtième..."). A titre d'exemple, l'Abbaye mentionne la quotte plus forte qu'elle impose aux non-bourgeois en Valais
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Reconnaissance faite par Jean Jaques Anex habitant à Bex pour des biens situés à Bex
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Reconnaissance faite par Abraham Anex, habitant à Bex, représenté par son père Jean Jaques Anex, pour des biens situés dans la région de Bex
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Reconnaissance faite par Claudine Bosset, femme de Jean Samuel Rapaz du Glarey, représentée par son fils Jean François, pour des biens à Bex, au lieu dit en Crie
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Reconnaissance faite par Gabriel Bosset de Villaz, pour des biens situés à Bex
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Reconnaissance faite par Marie Bourgeois, veuve de Michel von Sibethal, habitant à Bex, représentée par son fils François Sibethal, pour des biens situés à Bex
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Reconnaissance faite par Genette Broyon, veuve de Joseph Bollat, du Chatel, autorisée par Joseph Bollat son beau-frère, pour des biens situés à Bex
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Reconnaissance faite par David Salomon fils de David Bovard de l'Allex de Bex, agissant en son nom et en ceux de ces frères, Jaques Bovard et Jean Pierre Bovard, de l'Allex de Bex, pour des biens situés à Bex
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Reconnaissance faite par Leurs Excellences de Berne, nos Souverains Seigneurs, pour des biens situés à Bex
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Reconnaissance faite par Ypolite Baud de l'Allex, pour des biens situés à Bex
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Reconnaissance faite par les hoirs de Jean Pierre Ouli dit Cherix du Cropt, représenté par son frère Jean Jaques Ouli dit Cherix du Cropt, agissant en son nom, en celui de son frère absent Jean Pierre et de sa soeur Marie Cherix, pour des biens siutés à Bex
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Reconnaissance faite par Jean Jaques Clement du Cropt, pour des biens siutés à Bex
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Reconnaissance faite par Pierre François Delex de l'Allex, pour des biens situés à Bex
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Reconnaissance faite par Jeanne Marie David, représentée par son mari Jean Thoni Oyex de l'Allex, pour des biens situés à Bex
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Reconnaissance faite par Bernard David Escot du Glarey, pour des biens situés à Bex
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Reconnaissance faite par Rose Escot, authorisée par son mari Frantz Michaud, maréchal, habitant à Bex, pour des biens situés à Bex
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Reconnaissance faite par Marie Escot, fille de feu le Conseiller Escot du Châtel, représentée par sa mère Pernette Cherix, femme de Jean Thoni Mage, autorisée de Gabriel Escot et Jean François Thomaz ses beaux frères, pour des biens situés à Bex
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Reconnaissance faite par Pernette Cherix pour des biens situés à Bex, femme de Jean Thoni Mage, du Châtel, sous l'autorité de ses deux beaux frères, Gabriel Escot et Jean François Thomaz, pour des biens situés à Bex
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Reconnaissance faite par Marie, fille de feu David Escot du Châtel, représentée par sa mère Marie Genet, veuve de David Escot, sous l'autorité de Gabriel Escot, son beau frère, pour des biens situés à Bex
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Reconnaissance faite par Jean François Thomaz agissant en son nom et celui de sa femme Jeanne Escot, pour des biens situés à Bex
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Reconnaissance faite par Marie Genet de l'Allex, représentée par son mari Jean Jaques Reychard, habitant à Bex, pour des biens situés à Bex
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Reconnaissance faite par Jean François Grevoulet, conseiller de Bex, pour des biens situés à Bex
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Reconnaissance faite par Marie Genet, représentée par son mari Jean Jaques Fontannaz, du Châtel, pour des biens situés à Bex
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Reconnaissance faite par Barbille Monnet, représentée par son mari Jean François Oyon, justicier, pour des biens situés à Bex
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Reconnaissance faite par David Michaud, de Villaz, pour des biens situés à Bex
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Reconnaissance faite par Marie Minod représentant les hoirs de son mari le lieutenant Anthoine Gabriel Testaz, agissant sous l'autorité du Lieutenant Rossier d'Aigle, son parent et défenseur, pour des biens situés à Bex
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Reconnaissance faite pour les hoirs de Jean Jaques Testaz, Jean Jaques Testaz fils agissant au nom de sa mère Judith Genet, pour des bien situés à Bex
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Reconnaissance faite par Pierre Veillon, de l'Allex, régent d'école à Lavey, pour des biens situés à Bex
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Reconnaissance faite par Jeanne Landri, femme de Mauris Genet, de l'Allex, représentée par son père Pierre Landri, pour des biens situés à Bex
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Reconnaissance faite par Jean François Chesaux, justicier, agissant au nom des hoirs du justicier Jean Chesaux son beau-père et de Marie Bocherens, pour des biens situés à Bex
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Reconnaissance faite par les hoirs de feu Anthoni Chesaux, de Lavey, représenté par Jean Thoni, fils du dit Anthoni Chesaux, pour des biens situés à Bex
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Reconnaissance faite par Jean david Chesaux agissant au nom de toute l'hoirie de Pierre Chesaux de Plambuit et de Marie Genet, ses père et mère, pour des biens situés à Bex
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Reconnaissance faite par Anthoni Chesaux, officier de Lavey, pour des biens situés à Bex
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Reconnaissance faite par Marie Chesaux, fille de feu Jaques Chesaux, femme d'Abram Sturler, autorisée par Jean François Ruchet de Bex assesseur consistorial, pour des biens situés à Bex
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Reconnaissance faite par Jean françois Chesaux, fils de feu Jaques Chesaux, pour des biens situés à Bex
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Reconnaissance faite par Abram Chesaux, justicier de Lavey, pour des biens situés à Bex
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Reconnaissance faite par Jean Gabriel Chesaux, de Lavey, pour des biens siutés à Bex
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Reconnaissance faite par Jean François Chesaux, justicier, agissant en son nom, celui de sa femme Marie Chesaux, et de sa fille eue avec sa première femme Anthoinaz Paillard, pour des biens situés à Bex
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Reconnaissance faite par Jean Pierre Collomb, de Lavey, pour des biens situés à Bex