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Fonds | Sous fonds | Série | Sous série | Dossier | Pièce | ||||||||||||
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100 Barthélémy de Bartolomeis, abbé de Saint-Maurice, désigne devant témoins Remi de Platea, alias de Castosses et Girard Bernardi, sacristain à Saint-Maurice, comme ses procureurs pour exiger de la ville d'Abbeville les 13 livres et 8 sous de rente annuelle dont avait fait don Guillaume, comte de Ponthieu et de Montreuil, en 1210, afin de faire les camails dont les chanoines ont besoin pour célébrer la fête de la saint Maurice. | |||||||||||||||||
101 Guillaume, comte de Ponthieu et de Montreuil, donne aux chanoines de Saint-Maurice pour le salut de son âme et celle de ses parents, épouse et fille une rente de 13 livres parisis assise sur sa halle d'Abbeville pour acheter 20 aunes d'écarlate pour faire les camails que les chanoines ont coutume de porter en l'honneur du martyre de saint Maurice. Il donne de plus 8 sous de cens annuel assis sur 4 étals de la boucherie d'Abbeville tenus par Firminus de Sénarpont. Vidimus de Petrus de Porte fait le 05.12.1355 à la demande de l'abbé de Saint-Maurice, Barthélémy Giusti. | |||||||||||||||||
102 Jacques de Bourbon, comte de Ponthieu, après examen du vidimus envoyé par l'abbaye de Saint-Maurice, accepte de payer à l'abbaye de Saint-Maurice les 13 livres parisis de rente annuelle perçus sur la ville d'Abbeville, qu'avait autrefois accordés son ancêtre Guillaume, comte de Ponthieu, en 1210. | |||||||||||||||||
103 L'ambassadeur de France, Monsieur de Vic, écrit à Adrien de Riedmatten, abbé de Saint-Maurice, pour lui apprendre qu'au lieu de la rente de 13 livres perçue sur la boucherie d'Abbeville, il recevra désormais une pension royale de 50 livres à condition de dire tous les jours une oraison pour le Roi de France en l'église de Saint-Maurice, comme le font toutes les églises de France. | |||||||||||||||||
104 Il s'agit d'un registre indiquant les différents prieurs de Senlis depuis 1264 jusqu'à 1534, sans d'autres indications. | |||||||||||||||||
105 Louis II, duc de Bourbon, écrit à l'abbé de Saint-Maurice, Jean Garreti, pour lui apprendre la mort de l'ancien prieur de Senlis, Adam de Murat, et pour lui demander de confirmer l'élection du nouveau prieur, Adam de Cafosse. | |||||||||||||||||
106 Après son élection comme prieur de Saint-Maurice de Senlis, Adam de Cafossis a prêté serment, devant témoins, entre les mains de Guillaume, abbé du monastère de Notre-Dame des Victoires, de l'ordre de saint Augustin, commissaire de l'abbé de Saint-Maurice. | |||||||||||||||||
107 Le prieur de Saint-Maurice de Senlis écrit à l'abbé de Saint-Maurice pour s'excuser de n'avoir pas accompli son devoir de visite au monastère de Saint-Maurice, invoquant le passage des armées en France, les inondations, le climat. | |||||||||||||||||
108 Ayant su que l'abbé de Saint-Maurice, Barthélemy Bouvier, allait excommunier Pierre Chardel, prieur de la chapelle royale de Saint-Maurice de Senlis s'il ne se présentait à Saint-Maurice en Chablais dans les 30 jours, Pontiart, lieutenant général du bailli de Senlis écrit à l'abbé pour lui demander l'indulgence vis-à-vis du prieur. | |||||||||||||||||
109 Les religieux du prieuré royal de Senlis écrivent à l'abbé de Saint-Maurice, Guillaume Bernardi d'Allinges, pour lui apprendre après la mort du prieur Jean Tavernier, l'élection du nouveau prieur, Simon de Londa, élection confirmée par le Roi de France Charles VIII et son épouse Anne de Bretagne, et lui demandent de confirmer cette élection. | |||||||||||||||||
110 Le chapitre de Senlis décrit longuement le déroulement de l'élection du nouveau prieur en la personne de Simon de Londa. | |||||||||||||||||
111 Guillaume Bernardi d'Allinges, abbé de Saint-Maurice, confirme l'élection de Simon de Londa au prieuré royal de Senlis. | |||||||||||||||||
112 Simon de Londa, prieur de Saint-Maurice de Senlis, écrit à Guillaume Bernardi d'Allinges pour lui dire qu'il a reçu ses protestations, et s'excuse de ne pouvoir venir prêter obédience à Saint-Maurice, étant donné son âge et son état. Du reste, il finit en lui notifiant qu'il envoie à Saint-Maurice son procureur pour lui prêter serment d'obédience. | |||||||||||||||||
113 Jean Chardonet, chanoine du prieuré de Saint-Jean l'Evangéliste à Semur-en-Auxois, a reçu sa première tonsure des mains de Jean Bernardi d'Allinges, abbé de Saint-Maurice, et lui a prêté serment d'obédience. | |||||||||||||||||
114 Jean Bernardi d'Allinges, abbé de Saint-Maurice, ayant appris que le prieur et recteur du prieuré de Saint-Jean l'Evangéliste à Semur-en-Auxois, Sigismond Gouille, est mort, fait main basse sur ses biens et désigne pour le remplacer Jean Chardonnet, chanoine dans ce même prieuré. | |||||||||||||||||
115 Les religieux de Saint-Maurice de Senlis exposent que Jean Chardonet, prieur du prieuré de Saint-Jean l'Evangéliste à Semur-en-Auxois, est venu les inspecter de la part de l'abbé de Saint-Maurice, Bathélémy Sostion, ce dont ils se plaignent ; d'autre part, il se plaignent aussi du récent arrêt du parlement de Paris qui les a obligé à porter une robe blanche et un surplis blanc. | |||||||||||||||||
116 Lambert Hotman, prieur de Saint-Maurice de Senlis, prête serment d'obéissance et de fidélité à l'abbé de Saint-Maurice, Barthélémy Sostion, entre les mains de Jean Chardonet, prieur de Saint-Jean de Semur, vicaire de l'abbé de Saint-Maurice. | |||||||||||||||||
117 Lambert Hotman, prieur de Senlis, désigne Noël Courtieulx comme son procureur pour comparaître devant l'abbé de Saint-Maurice, Barthélémy Sostion, et lui prêter serment de fidélité. | |||||||||||||||||
118 Jean Chardonet, prieur de Saint-Jean de Semur-en-Auxois, et vicaire de Barthélémy Sostion, abbé de Saint-Maurice, expose qu'après la comparution de Guillaume Romullam, sous-prieur de Saint-Maurice de Senlis, se présentant comme le procureur de son prieur Lambert Hotman, trop âgé, le chapitre de Saint-Jean de Semur-en-Auxois a décidé d'aller à Senlis pour interroger Lambert Hotman. | |||||||||||||||||
119 Jean Miles, abbé de Saint-Maurice, ayant appris que les religieux de Saint-Maurice de Senlis ont changé d'habit, ordonne, sous peine d'excommunication à Jean Hotman, leur prieur, de reprendre l'ancien habit de leur ordre et de n'en plus changer sans leur permission. | |||||||||||||||||
120 Jean Miles, abbé de Saint-Maurice, expose qu'il avait infligé à un chanoine de Saint-Maurice de Senlis, Pierre Foulon, la pénitence de se retirer quelque temps dans le prieuré de Saint-Jean l'Evangéliste de Semur-en-Auxois ; qu'entre temps, le prieur de Saint-Maurice de Senlis avait changé l'habit ecclésiastique et avait abandonné la capuche rouge, signe du martyre de Saint-Maurice ; que pour cette raison, Pierre Foulon a demandé de rester dans la communauté de Saint-Jean l'Evangéliste ; que, pour finir, il acquiesce à cette demande. | |||||||||||||||||
121 Barthélemy Sostion, abbé de Saint-Maurice, désigne solennellement Jean Chardonet comme son procureur pour exiger du prieuré de Saint-Maurice de Senlis le rétablissement de l'habit dû en l'honneur du martyre de Saint-Maurice et de ses 6666 compagnons. | |||||||||||||||||
122 Barthélémy Sostion, abbé de Saint-Maurice, donne solennellement à Jean Chardonet, prieur de Saint-Jean de Semur-en-Auxois, les pleins pouvoirs de visite et de réforme dans le prieuré de Saint-Maurice de Senlis. Immédiatement après, nous avons le compte-rendu de la visite opérée par Jean Chardonet, s'étalant sur plusieurs jours à partir du 21 juillet. | |||||||||||||||||
123 Barthélémy Sostion, abbé de Saint-Maurice, ordonne aux chanoines de Saint-Jean l'Evangéliste de Semur-en-Auxois et de Saint-Maurice de Senlis de réciter des prières à chaque heure, de respecter l'assiduité à la messe, d'observer la clôture, leur interdit d'aller dans aucun mauvais lieu, afin que l'église ne soit plus aux fidèles sujet de scandale, mais un modèle à suivre. | |||||||||||||||||
124 Barthélémy Sostion, abbé de Saint-Maurice expose que comme Simon Gringuet, prêtre et religieux du prieuré de Saint-Maurice de Senlis, avait outrepassé ses pouvoirs et empiété sur les privilèges de l'abbé de Saint-Maurice, ce dernier l'avait excommunié, lui et l'ensemble de la communauté de Senlis. Dans cet acte, il lève l'excommunication | |||||||||||||||||
125 Lambert Hotman, prieur de Saint-Maurice de Senlis, a accordé la somme de 8 livres tournois pour la gestion du vestiaire des religieux, qui sera géré par trois personnes, afin que les religieux de Senlis célèbrent dans l'habit de leur ordre. | |||||||||||||||||
126 Ayant appris que Pierre Foulon, religieux de Saint-Maurice de Senlis, s'est enfui, Jean Miles, abbé de Saint-Maurice, ordonne à Jean Chardonet, prieur de Saint-Jean de Semur-en-Auxois, de le rechercher et de le renvoyer au prieuré. | |||||||||||||||||
127 Pierre Fournier, abbé de Saint-Maurice, confirme solennellement l'élection au prieuré de Saint-Maurice de Senlis de Réginald le Sergent, représenté par le chanoine Jean Andien, cette charge étant vacante par la mort du précédent prieur, Pierre Jovini. | |||||||||||||||||
128 Feuille d'information faite par l'abbé de Saint-Maurice, Charléty, justifiant l'envoi de sel de Salins en 1724 : on y trouve un bref historique de la donation faite par le comte de Bourgogne, avec la précision qu'en échange le couvent s'acquitte annuellement de la messe anniversaire à la mémoire du comte ; ces redevances ayant été entièrement supprimées en 1720, l'abbé s'est adressé auprès de l'ambassadeur de France en Suisse, pour faire rétablir la perception de cette redevance. | |||||||||||||||||
129 Il s'agit d'un extrait des registres du Conseil d'Etat du Roi, ordonnant rétablissement du paiement de la redevance annuelle de 18 charges et 2 bannates de sel dues à l'abbaye de Saint-Maurice, perçues sur la saunerie de Salins ; or, cette redevance n ‘a pas été perçue depuis l'année 1720. Le roi ordonne donc le paiement de la somme de 462 livres 10 sols. | |||||||||||||||||
130 Louis XV, roi de France, ayant ordonné le paiement à l'abbaye de Saint-Maurice de la somme de 462 livres 10 sols, à assurer par Armand Pillavoine, Charles Cordier et Jean Grillau, Charles Cordier a déclaré qu'il ne consentirait à payer que si les chanoines de Saint-Maurice lui présenteraient des lettres patentes, ce qui leur entraîne des frais supplémentaires. Le roi consent donc à ce que la somme de 462 livres 10 sols, due à l'abbaye de Saint-Maurice, soit doublée. | |||||||||||||||||
131 Antoine Herbort, secrétaire de la direction des péages, informe l'abbé de Saint-Maurice, Jean Joseph Claret, qu'il a décidé d'affranchir de tous péages le sel perçu par l'abbaye venant de Salins, alors qu'auparavant des droits étaient perçus à Villeneuve et à Nyon. | |||||||||||||||||
132 Antoine Herbort, secrétaire de la direction des péages, informe l'abbé de Saint-Maurice, Jean Joseph Claret, qu'il a décidé d'affranchir de tous péages le sel perçu par l'abbaye venant de Salins, alors qu'auparavant des droits étaient perçus à Villeneuve et à Nyon. | |||||||||||||||||
133 index du Liber Burgundiae. |