Fondation des Archives historiques de l'Abbaye de Saint-Maurice image de texte ancien
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Les informations ci-dessous représentent la structure des différents fonds d'archives, conformément à la terminologie précisée par la norme internationale ISAD(G) : un fonds peut être divisé en sous-fonds, série, sous-série, dossier et pièce. Si vous voulez des explications détaillées sur la façon de se déplacer dans cette hiérarchie, cliquez ici

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L'abbaye étant tombée depuis quelque temps dans un si triste état que les offices divins y ont cessé, Amédée III, comte et marquis, à l'instance de Raynaldus, son frère, prévôt de Saint-Maurice d'Agaune, et suite au conseil d'Hugues, évêque de Grenoble, ordonne, du consentement des chanoines séculiers qui y sont pour lors, qu'elle ne soit plus désormais desservie que par des chanoines réguliers et que toutes ses possessions alienées lui soient restituées sans aucune contradiction sous peine de 60 livres, rendant lui-même et commendant de rendre tout ce qui lui avait été enlevé. Enfin ledit comte prie le pape de confirmer la fondation de ce collège de chanoines réguliers.
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Le comte Amédée III, sa femme Maiez et leur fils Humbert restituent à l'abbaye de Saint-Maurice la Prévôté, s'y réservant le droit de reçu et les justes usages appartenant au comté. Ils demandent de plus humblement qu'eux et le comte Humbert, père d'Amédée, fussent absous des péchés qu'ils pouvaient avoir commis à ce sujet et qu'on fît mémoire de l'anniversaire dudit comte Humbert dans le martyrologe d'Agaune et qu'on le célébrât chaque année.
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Le comte Humbert a autrefois donné pour le remède de son âme et celle de ses parents à l'église de Saint-Maurice 20 sous mauriçois de cens annuel assigné sur le droit de chasse qu'il avait à Saint-Maurice. En en étant prié par l'abbé Guillaume II, le comte Thomas, son fils, accorde à l'abbaye les fils de Guillaume de Vérossaz avec leurs biens et leur postérité à la place dudit cens.
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Pierre de Toveto, camérier du comte Thomas de Maurienne, avec son consentement, exempte l'abbaye de Saint-Maurice de toute redevance pour le sceau de toutes les patentes que lui et ses successeurs accorderont à ladite abbaye.
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Thomas, comte de Maurienne, exempte l'abbaye de toute redevance pour le sceau de toutes les patentes que lui ou ses successeurs accorderont à ladite abbaye.
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Le comte Thomas donne à Saint-Maurice et à l'abbaye pour l'entretien d'un cierge continuellement allumé devant la châsse et le corps de saint Maurice, savoir 100 sous mauriçois de rente à percevoir sur les moulins du lieu.
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Le comte Thomas donne à Saint-Maurice et à l'abbaye pour l'entretien d'un cierge continuellement allumé devant la châsse et le corps de saint Maurice, savoir 100 sous mauriçois de rente à percevoir sur les moulins du lieu.
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Comme les cent sous légués par le comte Thomas assignés sur les moulins de Saint-Maurice ne se payaient pas exactement, son fils Aymon, du consentement de sa mère et de son frère le comte Amédée IV, les assigne au sacristain de l'abbaye de Saint-Maurice sur les recettes d'Ollon et de Vouvry.
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Comme les cent sous légués par le comte Thomas assignés sur les moulins de Saint-Maurice ne se payaient pas exactement, son fils, Aimon, du consentement de sa mère et de son frère, le comte Amédée IV, les assigne au sacristain sur les recettes d'Ollon et de Vouvry
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Le comte Amédée IV approuve l'ancienne coutume de l'abbaye de Saint-Maurice de stipuler des actes publics pour tous le Chablais, le Valais, l'Entremont et le bailliage de Chillon. Il lui confirme ce droit, ordonnant d'ajouter foi à ces actes dans tous les tribunaux.
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Le comte Amédée IV approuve l'ancienne coutume de l'abbaye de stipuler et faire des actes publics pour tout le Chablais, le Valais, l'Entremont et le bailliage de Chillon. Il lui confirme ce droit, ordonnant d'ajouter foi à ces actes dans tous les tribunaux, comme tous les autres instruments publics.
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Le comte Amédée IV approuve l'ancienne coutume de l'abbaye de stipuler et faire des actes publics pour tout le Chablais, le Valais, l'Entremont et le bailliage de Chillon. Il lui confirme ce droit ordonnant d'ajouter foi à ces actes dans tous les tribunaux, comme tous les autres instruments publics.
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Le comte Amédée VI, de l'autorité de son parent et tuteur Louis II de Savoie, seigneur de Vaud, défend à tous ses officiers, juges, baillis, châtelains, etc., du Chablais, d'extraire les hommes ressortissants des juridictions de l'abbaye de Saint-Maurice et de faire aucune exécution contre eux pour dettes, avant que l'abbé ou ses officiers en aient premièrement pris connaissance, les poursuites desdits officiers du Chablais ne devant avoir lieu que dans le cas où ledit abbé et ses officiers négligeraient de rendre justice.
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Pierre Pugini demande au nom du comte Amédée VII de Savoie 100 florins d'or à titre d'emprunt de l'abbé Jean. Celui-ci, s'excusant sur la pauvreté et les besoins de son abbaye, ne s'engage à lui en prêter que 50 (valant chacun 12 sous de monnaie en cours) et cela à Noël suivant.
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Suite à la supplique de l'abbé Jean Garetti, Bonne de Bourbon, comtesse de Savoie, tutrice du comte son fils, défend à tous les officiers du Chablais, du Genevois, de Chillon et de Saint-Maurice de faire la moindre violence et vexation audit abbé, surtout dans la possession de sa maison de Sala, leur ordonnant au contraire de le traiter favorablement, vu la dévotion qu'elle et feu les comtes avaient eu et ont envers Saint-Maurice.
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Bonne de Bourbon, comtesse de Savoie, tutrice du comte, son fils, défend à tous les officiers du Chablais, du Genevois, de Chillon et de Saint-Maurice, suite à la supplique de l'abbé Jean Garetti, de faire la moindre violence et vexation indue audit abbé, surtout dans la possession de sa maison de Sala, leur ordonnant au contraire de le traiter favorablement, vu la dévotion qu'elle et feu les comtes avaient eue et ont envers saint Maurice
            Chercher à partir d'iciVisualiser la fiche+ 011~01
L'abbé Jean Garreti s'étant plaint au comte Amédée VIII que ses officiers exigeaient des ressortissants de l'abbaye un florin de subside par tête, le même comte défend à tous ses officiers de Chillon, de l'Entremont, de Saint-Maurice et de Monthey d'exiger ledit subside des hommes sur qui l'abbaye a omnimode jurisdiction et le dernier supplice, ni de leur faire aucune poursuite à ce sujet, leur ordonnant même de restituer les gages qu'ils en auraient déjà tiré
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L'abbé Jean Garreti s'étant plaint au comte Amédée VIII que ses officiers exigeaient des ressortissants de l'abbaye 1 florin de subside par personne, le même comte défend à tous ses officiers de Chillon, de l'Entremont, de Saint-Maurice et de Monthey d'exiger ledit subside des hommes sur qui l'abbaye a omnimode jurisdiction et le dernier supplice, ni de leur faire aucune poursuite à ce sujet, leur ordonnant même de restituer les gages qu'ils en auraient déjà tiré
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Amédée VIII, premier duc de Savoie, réitère une interdiction après une nouvelle supplique de l'Abbaye, au sujet d'un subside qu'on exigeait de ses sujets.
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Amédée VIII, premier duc de Savoie, réitère une interdiction après une nouvelle supplique de l'Abbaye, au sujet d'un subside qu'on exigeait de ses sujets.
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L'abbé Jean Sostion ayant fait représenter au comte Amédée VIII le mauvais état des batiments de l'abbaye, les exactions du collecteur des droits de la Chambre apostolique, les usurpations des droits et biens de ladite abbaye, et imploré le secours et la protection dudit prince, celui-ci, par son rescript du 9 septembre 1411, ordonne à tous ses officiers de rendre bonne et brève justice audit abbé et à ses religieux, et de contribuer de tout leur pouvoir à la conservation de leurs droits et à empêcher toute violence qu'on pourroit leur faire, recommandant de plus audit collecteur de les traiter avec douceur et de faire attention à leurs nécessités. Par un autre rescript du 9 février 1412 attaché avec le premier et ladite supplique, le même prince enjoint aux mêmes officiers, sous peine de 50 florins, de tenir exactement la main à l'exécution de ses lettres précédentes, de remettre en son premier état tout ce qui aurait été fait au contraire, et spécialement de faire jouir lesdits suppliants de leur grange d'Ollon et de toutes ses appartenances
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Amédée VIII de Savoie ordonne à tous ses officiers d'admettre à leur audience et d'écouter favorablement les religieux de l'Abbaye ou leurs procureurs toutes les fois qu'ils s'adresseront à eux pour poursuivre et défendre leurs droits, et cela aussi longtemps que leur abbé Jean Sostion sera absent pour ses études de droit
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Louis de Savoie, prince de Piémont, lieutenant général, prie l'abbé Pierre Fournier, comme son ami et son conseiller, d'aller à Thonon le trouver et y assister à l'assemblée des Trois-Etats qu'il y a convoquée pour le 20 novembre prochain.

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