Contenu | Le comte Aimon, encouragé par l'exemple de son père Gérold, et de son frère Conon, dont il est le successeur, exemplo.... successor excitatus, et voulant augmenter les biens de Saint-Marcel [209], approuve l'adjonction à la dite église d'un coteau, quoddam podium, qui est voisin des terrains compris dans les donations précédentes. Cette adjonction a été indiquée et préparée par les nommés Albericus et Hubertus, sicut dictaverunt et praeviaverunt. En outre, Godefroy, qui possédait la dîme de ce terrain, en fait don à Saint-Marcel, avec le consentement d'Audebert, qui est son homme et qui tenait de lui cette dîme, consensu et laudatu Audeberti servientis, qui a Godofredo supra dictam decimam tenebat. Ce dernier don, fait par Godefroy, est approuvé par le comte Aimon, lequel accorde de plus à tous ceux qui tiennent de lui en fief des biens compris dans son alleu, l'autorisation générale de donner ces biens à Saint-Marcel. Le tout a été fait à la demande de Burchard, moine, frère du comte (ou du frère Burchard, moine), petitione fratris Burchardi monachi. Témoins : Hermann de Rumilly; Amblard; Albericus; Hermannus; Guillelmus; Gautier d'Aix. |